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DAMIEN VII
Datte: 15/01/2019, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: ANDRERP95, Source: Hds
... leur temps. Ils n’étaient pas pressés. Ils avaient toute la nuit. Ils se donnaient en spectacles devant les deux autres, m’obligeant à prendre des poses qui permettaient de bien voir ma bouche ouverte autour de la hampe ou mon trou dilaté. Sur ordre du capitaine, ils m’ont laissé. Mourad est venu me coucher sur le dos. Je l’ai supplié d'arrêter tout cela. Il ne m’a pas répondu. Il tenait un rouleau de sparadrap très large de couleur chair. - Le capitaine ne veut plus voir ton sexe L’air dégoûté, avec l’aide des deux autres, il a collé deux bandes de sparadrap sur mon sexe et mes couilles. Je n’avais plus de bitte. Dans la pénombre de la cambuse, ils m’ont transformé en femme. Le sparadrap tirait ma peau à chaque mouvement. Puis il a utilisé de nouveau une boule de pâte. Cette fois ci, sous les aisselles. Ils ont dû me tenir à deux, tellement la douleur était forte. Je criais de toutes mes forces en sentant mes poils s’arracher. Quand ils m’ont lâché, je n’avais plus ni poils ni sexe. Ils m’ont traîné à genoux devant le capitaine. Mourad a pris la parole. - Répète après moi, Je m'appelle Damia et je suis votre servante dévouée. Ma voix était atone, mécanique. Une main de fer a croché ma nuque, m’obligeant à ma prosterner devant le capitaine. - Embrasse les pieds du capitaine. J’ai embrassé les pieds nus, la peau calleuse, les ongles épais. J’ai baisé la plante des pieds et le talon dur comme du bois. Le capitaine a prononcé quelques mots. Les trois ...
... autres m’ont saisi pour me coucher sur le sol. Ils m’ont complètement immobilisé sur le dos. Le capitaine s’est levé pour venir au niveau de ma tête. Il portait sa djellaba. Il a enjambé mon visage et s’est accroupi au-dessus de ma tête. Je ne voyais plus rien, mais très vite, les fesses m’ont effleurées la bouche. J’avais beau gigoter, les autres me tenaient fermement. - Tu vas faire la toilette intime du capitaine. Les fesses se sont ouvertes. J’ai tenté de tourner mon visage pour échapper à cela. Mourad m’a frappé. - Allez nettoie avec ta langue. Nettoie à fond. L’odeur très épicée me soulevait le cœur. J’ai sorti ma langue pour faire ce qu’on m'ordonnait. J’ai léché les poils collés de sueur. Ma langue a tourné autour de l’anus serré. J’ai longuement léché la raie odorante. Mon visage s’écrasait contre les fesses musclées. J’ai tête l’anus. Je ne savais plus ce que je faisais. Le capitaine est resté longtemps accroupi. Les autres ne pouvaient rien voir. Quand le capitaine s’est enfin levé, ils m’ont libéré. Je suis resté prostré sur le sol. Ils m’ont laissé pour boire encore du thé. Je ne pensais à rien, ne bougeais pas. J’attendais leur bon vouloir sans aucune révolte ni dégoût et avec un fatalisme de femme orientale. Ils étaient mes maîtres. J’étais là pour leur obéir. Mourad m’a tendu des bas noirs et une culotte de femme que je ne connaissais pas. - C’est les vêtements de l’allemande. Mes amis voudraient voir à quoi tu ressembles avec ça Vêtu ...