Les petites bougies
Datte: 13/01/2019,
Catégories:
Dans la zone rouge,
Auteur: Svetlanavassilianova, Source: Hds
... coquine contre mon pubis que mon excitation redoubla. Je tentai de me calmer, et repris le massage où il en était, m’excusant de l’avoir réveillé de la sorte. Il ne répondit pas.
Je longeai la colonne, vertèbre après vertèbre, de sa nuque à l’élastique de son caleçon, puis remontai sur ses côtés en écartant bien les doigts.
Il se laissa manipuler. Il semblait ne plus rire, mais prenait le temps d’apprécier. Mes doigts redescendirent et longèrent le bas du dos, le long du caleçon pendant quelques secondes avant de s’arrêter.
- Tu veux te retourner ? Je vais te masser un peu le torse si tu veux ?
Il ne fit pas le moindre mouvement. M’avait-il seulement entendue tellement j’avais parlé en chuchotant ?
Laissant son dos, je me déplaçai pour me mettre plus bas, à califourchon sur ses pieds. Mon sexe appuyait contre ses talons. J’entrepris alors de masser ses mollets. Remontant, tout d’abord en enserrant les chevilles, puis jusqu’à l’arrière des genoux que je contournai pour remonter à l’arrière des cuisses jusqu’à la limite du sous-vêtement.
Mes massages n’en étaient plus que d’apparence. Il s’agissait plus de caresses appuyées que de mouvements purement thérapeutiques.
Sa peau était douce. Je crois bien en mon for intérieur que même si sa peau avait été pleine d’aspérités, je l’aurai tout de même trouvée à mon goût.
Encore et encore, je m’attardai sur les cuisses, glissant sur les côtés, puis entre elles. J’imaginais comme cela pouvait être excitant. Il ne ...
... se plaignait ni ne bougeait encore. J’y prenais beaucoup de plaisir, appuyant outrageusement et avec un plaisir immense ma vulve contre l’un de ses talons.
Mes mains passèrent par-dessus puis s’insinuèrent par-dessous, comme pour le soulever, et enfin revinrent à leur place. Je glissai plus en avant, franchissant la limite du caleçon jusqu’à ce que mes doigts entrent en contact avec le début de la fesse, là où se termine la cuisse en un petit pli adorable.
J’usai de plusieurs allers et retours de la sorte. C’en était à chaque fois plus agréable. Je devinai qu’au bout de mes doigts se trouvaient les jolies fesses que j’avais vues de ma vie.
Chaque mouvement en avant me faisait appuyer le pubis contre son pied. Ce simple geste de pression me plaisait, me caressait, me masturbait quasiment. La sensation me faisait l’effet d’une éponge gorgée d’eau que l’on aurait appuyée du plat de main. J’avais l’impression de couler. Pouvait-il sentir mon humidité à l’intérieur de son pied ?
- Tu ne veux vraiment pas te retourner ? Il faut que je te masse le devant des cuisses quand même… Dis-je un peu hypocritement.
Sans rien dire alors, il se retourna et se plaça sur le dos.
Mes mains s’insérèrent entre les cuisses, glissant doucement vers le haut, tout en pénétrant un peu sous le caleçon. C’était infiniment érotique.
Il me regarda puis contempla plus bas, ma poitrine. Je remarquai le même mouvement rapide des yeux qui voulaient voir sans être remarqué. Je jouai encore ...