1. Sensualité, érotisme et masturbation entre deux étudiants


    Datte: 12/01/2019, Catégories: hh, hbi, copains, grosseins, école, toilettes, revede, intermast, nopéné, init, Auteur: Vittorio, Source: Revebebe

    Premier souvenir :
    
    Mon meilleur ami s’appelle Didier. À 24 ans, Didier et moi nous sommes restés, sexuellement, au stade de l’adolescence. Nous étions au lycée ensemble et actuellement nous suivons nos études de Droit administratif dans une université lyonnaise. Déjà au lycée, nous étions deux adeptes très assidus de la masturbation ; et depuis que nous sommes à la fac, notre liberté de vie n’a fait qu’accentuer nos ardeurs sexuelles un peu particulières. Nous aimons beaucoup les femmes et nous y pensons tout le temps. Seulement, nous les aimons à travers les revues et les films pornos plutôt qu’en vrai.
    
    Je m’explique : nous n’avons eu, ni Didier ni moi, jusque là aucune expérience sexuelle avec les femmes ; par contre, nous fantasmons très fort sur elles et nous n’arrêtons pas de nous branler mutuellement en partageant nos fantasmes. Nous avons un faible pour les femmes qui ont une poitrine généreuse. Toutes les occasions sont bonnes pour nous exciter et nous toucher.
    
    Au mois d’avril dernier, par exemple, nous avons remarqué dans un amphi une étudiante qui portait une jupe courte et un tee-shirt très moulant ; elle ne portait pas de soutien-gorge et ses énormes seins pointaient sous le tee-shirt et ballotaient à chacun de ses pas. Nous l’avons suivie toute la journée à la fac ; nous ne la quittions pas des yeux et nous n’avons pas raté une seule miette du spectacle qu’elle nous offrait : le ballottement de ses seins lourds et gros, ses jambes fines en bas noirs, ses ...
    ... cuisses charnues, et enfin la raie entre ses seins qu’on voyait dans l’échancrure de son tee-shirt. La tension montait et, entre nous, nous n’arrêtions pas de faire des commentaires salaces sur elle et ses formes, nous fantasmions sur elle et nous nous racontions nos fantasmes.
    
    Nous l’imaginions en train de nous sucer tous les deux à la fois. Je disais à Didier que j’aimerais bien qu’il jouisse sur les seins de la fille pour qu’ensuite je les masse avec son foutre. Lui, il s’imaginait en train de danser un slow brûlant avec la fille et il me décrivait en détail la scène. Bref, la fille nous faisait bander à craquer. Elle a quitté la fac à 14 h mais nous devions rester car nous avions cours cet après-midi là de 14 h à 16 h. Assis au fond de la salle, nous n’entendions rien de ce que le prof disait car dans l’état d’excitation où nous nous trouvions, nos têtes débordant de fantasmes, nous n’avions envie que d’une seule chose : nous branler.
    
    D’ailleurs, ça n’a pas tardé à venir et ma main s’est posée sur la bosse de sa braguette pour lui administrer un délicieux et discret massage très localisé. Il a fait de même. Mais nous ne pouvions pas continuer ça très longtemps en plein cours ; on risquait de nous voir. Nous avons donc quitté la salle de cours précipitamment, et c’est presque en courant que nous nous sommes dirigés vers les toilettes de la fac. Quelques secondes après nous étions enfermés dans une cabine. Nous haletions presque, nos cœurs battaient la chamade et nos ...
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