1. Berlin, son histoire, ses vices (7)


    Datte: 11/01/2019, Catégories: Divers, Auteur: charimarien, Source: Xstory

    ... bouger et se contente de nous regarder, admirative devant ma soumission. Je baise les pieds de Mademoiselle la supplie de me punir pour mes larmes. Je renouvelle mon serment, celui de ne jamais la quitter. Derrière, un homme pénètre dans le bureau.
    
    — Quand je te disais qu’elle était ma proie, tu ne voulais pas me croire. Ben tu vois, elle est ma pute, ma chienne. Alain, on peut l’aimer à deux. Elle en a pour dix dans son cœur.
    
    — Heureusement que tu m’as appelé, sinon, je manquais ça. Ta Maîtresse a raison et toi aussi. Je ne te prendrais pas. Jamais je ne te forcerai à me suivre sans que ta Maîtresse ne soit avec nous.
    
    — Mademoiselle, Monsieur, il me faut encore vous faire un aveu. Cette femme, merveilleuse au demeurant, derrière son bureau, Isabelle, elle me fouette avec la cravache suspendue derrière elle. Je le lui ai demandé. Oui, je me sens si souvent loin de vous Mademoiselle. Chez moi, je me sens si seule quand, ni Vous, ni Béa ou Agnès ne soyez présentes pour m’infliger ma punition. Je me sens seule quand je ne peux vous faire jouir.
    
    — Mon cher Alain, n’y a-t-il pas une solution à ce problème de solitude ?
    
    — Je vais y réfléchir, Janice. Aroa, je crains que ce poste ne t’éloigne de ta Maîtresse, est-ce que je me trompe ?
    
    — Non, Monsieur ! Cependant, ce travail me plaît car il est désormais un défi permanent pour moi. C’est un défi unique en son genre puisque qu’il m’oblige à tout faire pour ne pas vous déplaire, Maître Alain.
    
    — Je vois ça, ma ...
    ... belle Bibi. Mais là, je dois y aller, mon avion m’attend. Toi et moi, nous allons en reparler. Et puis, je serais à Hanover pour ton film. En attendant, si tu me le permets, Janice, j’exige que tu quittes ton logement pour ne plus vivre qu’auprès de ta Maîtresse. En outre, j’exige de toi que tu la serves davantage encore.
    
    — Je vous obéis, Monsieur. Voilà un ordre auquel il me plaît de donner la suite qu’il mérite. Ne me cherchez aucune remplaçante, si je manque à mon devoir de directrice, Isabelle saura m’obliger à m’en souvenir à l’aide de cette cravache.
    
    — Mon cher, voir ma petite Aroa suspendue à mes basques n’est certainement pas pour me déplaire. Aussi, à ta prochaine visite, si tu loues une chambre, je te promets de te faire connaître le prix de ma colère.
    
    — Là, je ne vais pas refuser une telle invitation. Bon, Janice, Aroa, Isabelle, je dois vous laisser.
    
    Monsieur Alain nous embrasse avec tendresse et file tel le vent. Dans mon bureau de directrice, Isabelle se pointe et tombe à genoux devant ma Maîtresse sans que nous ne comprenions la raison. Du moins, sur le moment.
    
    — Mademoiselle Janice, j’ai tout entendu. Pourriez-vous me flageller durement à l’aide de cette cravache pour avoir voulu vous dérober votre soumise, Aroa.
    
    — J’ai oublié mes clefs ! Isabelle, que faites-vous dans cette position ?
    
    — Je cherche à me faire pardonner pour avoir voulu vous enlever Aroa.
    
    — Mon cher Alain, j’ai ma petite idée pour cette femme. Tu peux partir sans crainte, il ...
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