1. Berlin, son histoire, ses vices (7)


    Datte: 11/01/2019, Catégories: Divers, Auteur: charimarien, Source: Xstory

    Chapitre 7 : Je suis dans la place.
    
    Deux semaines sont passées, je sers Monsieur Alain avec une joie non dissimulée en plus de servir ma merveilleuse Maîtresse vénérée. Dans l’agence, mon directeur a cessé de me reluquer. Gertrude est en main avec Maîtresse Karina, une russe pure souche, une peau de vache si on faute avec elle. Au bureau, dans mon bureau, Isabelle est ma secrétaire très particulière, elle est celle qui me fesse, celle que je lèche ou que je bois. Gertrude nous a déniché deux perles, sans aucune possibilité de les corrompre, malheureusement. Toutes les deux sont déjà maquées à des hommes, leurs maris et ont des mouflets.
    
    Je suis impatiente, Monsieur Alain doit arriver dans moins d’une heure. Je porte ma petite laisse cachée entre mes seins enchaînés l’un à l’autre. Elle est là, sous mon chemisier à jabot. Je ne cesse de fixer la pendule de mon bureau. Gertrude est sous ma jupe, elle me lèche la moule pour me détendre. Je suis si impatiente qu’Isabelle se permet de me gifler. Je crois qu’elle a eu peur de ma réaction quand je me suis lentement tournée vers elle. Mon sourire empli de bonheur l’a rassurée. Quand, comme avec Mademoiselle, je baise tendrement sa main, elle pose sa bouche sur ma nuque et je jouissais de la langue de notre Gertrude.
    
    Monsieur Alain arrive, je me précipite dehors, bouscule le directeur. J’ouvre la porte du taxi, lui tends ma main. Il sort en baisant ma main, tout en souriant. En revanche, avec le directeur, il se montre ...
    ... froid. Intimidé, ce dernier guide notre directeur dans une salle de conférence. Il ne faut qu’une heure et quelques minutes à Alain pour dire tout le bien qu’il pense de l’agence. Autant dire pas grand-chose. Le directeur se fait vertement rabrouer, ses sous-fifres en prennent pour leur grade. Il critique la façade passée, l’entretien des bureaux. Il blâme le comportement sexiste, vulgaire et les tenues peu en adéquation avec leurs emplois. Je n’oublie pas les reproches fait aux réceptionnistes, même s’il est au courant de la situation de Gertrude. Il nous félicite, Isabelle et moi pour nos tenues, notre travail, nos compétences. Bref, après son discours, ses récriminations, il m’invite à le suivre dans mon nouveau bureau. Là, j’ai une putain d’envie qu’il me baise, m’encule et même de me fesser si le cœur lui en dit. Seulement, il est encore branché travail.
    
    — Bon, je vais aller voir le futur ex-directeur. Toi, tu prends sa place. Si elle te convient, tu la gardes sinon, tu m’appelle et je ferai en sorte de trouver un nouveau directeur, ou une nouvelle directrice pour te succéder. Euh, si tu as une culotte, retire-là et vite, je reviens.
    
    La porte du bureau fermée, il passe dans le bureau d’à côté. Mon oreille contre la fine cloison, je peux tout entendre. Pour ce qui est de la culotte, nul besoin de me plier en deux, je n’en ai aucune. Monsieur Alain se découvre devant cette fiente. Il est acerbe, amère sur les comportements du directeur d’agence. Il lui reproche non ...
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