Annie, nympho et je ne me soigne pas. (10)
Datte: 10/01/2019,
Catégories:
Hétéro
Auteur: tomy83, Source: Xstory
... épaisse, pas très longue, mais épaisse. Je me relève et embrasse André. Romy dirige la queue de son mari sur ma chatte, je me laisse tomber dessus. Bon sang que c’est bon, une bonne queue qui vous écartèle. La vache ! André me lèche les tétons, me les mordille. Quel pied je prends ! Et je le fais entendre.
— Elle est bonne la bite à Dédé ? me demande-t-elle.
— OUI, LA VACHE...
Je mouille comme une folle. Il me prend par les hanches et m’accompagne dans ma chevauchée. Sur le fauteuil d’à côté, cela baise fort... Jeanne est de dos à Olive, sa sœur s’occupe de son clito. Elle brait, elle est en transe.
André me positionne à quatre pattes sur le sofa et me prend sans ménagement. Romy s’assoit sur le dossier et m’offre sa délicieuse chatte à bouffer. André se démène, il hurle et c’est un flot de sperme qui se déverse en moi. J’adore. Olivier s’est déboîté et asperge les deux sœurs. Elles s’embrassent en partageant le jus récolté. Lesbienne la Marie ? J’en doute, à éclaircir.
Le repas se passe bien. André et Romy nous ont faits un taboulé et servi du jambon cru. On part dans leur piscine. Je prends Marie dans mes bras.
— Alors ma petite lesbienne, on aime le sperme ?
— Oui, mais je ne suis pas une goudou...
— Où est le problème alors ?
— J’ai honte, je suis une femme-fontaine. Je gicle à ne plus savoir m’arrêter. J’ai honte de moi.
— Ce n’est pas un problème. Beaucoup d’hommes aiment.
— Pas ceux qui m’ont baisée ...
... récemment. Ils croient que c’est de la pisse...
— Des jeunes qui n’y connaissent rien. Viens avec moi.
Je chope ma grenouille et sors de la piscine. J’installe la petite sur la table basse de jardin, allongée sur le dos. Je lui écarte les cuisses. Elle est prête à recevoir l’énorme mandrin de mon mec. Il comprend vite et lui fait un cunnilingus comme je lui ai appris. Moi, pendant ce temps, je lui lubrifie la bite en le suçant. Marie mouille abondamment. Je présente le gland à l’entrée de sa grotte d’amour. Sur ses bras tendus, il la pénètre lentement, très lentement, trop lentement.
— Défonce-moi. Je ne suis pas en sucre !
La chevauchée est brusque, il ne se ménage pas, mon chéri. Marie se délecte de cette queue qui la défonce. Elle inonde les couilles de mon homme. Elle gicle comme les fontaines de Versailles. La table basse sur laquelle je les ai installés ressemble à une piscine odorante, saveur cyprine et sueur. Je me rappelle, les noires ont un parfum différent. Plus suave, plus animal, bestial.
André, Romy et Jeanne sont eux aussi de l’eau. Ils sont installés sur le grand sofa qu’ils ont retourné afin de ne rien perdre du spectacle. André baise les deux filles tour à tour. Je me mets à cheval au-dessus de la tête de Marie qui me bouffe la chatte, mon petit homme se démène sur mon cul. On jouit ensemble, de concert. Comme des furies, les quatre femmes que nous sommes, on s’allonge et l’on se régale des sécrétions intimes.