1. Annie, nympho et je ne me soigne pas. (10)


    Datte: 10/01/2019, Catégories: Hétéro Auteur: tomy83, Source: Xstory

    ... devant ma chatte et y rentre d’un coup. Nous voilà toutes les trois alignés et exhibés. Imaginez le tableau, trois nanas en train de se faire prendre tout à tour par deux hommes en rut. Nos deux mâles changent souvent de femelles. On jouit à chaque fois qu’ils entrent en nous. Dommage qu’il n’y ait pas un troisième larron.
    
    Ce petit jeu continue un petit moment.
    
    — Je vais tout lâcher, annonce Francis.
    
    — Moi aussi.
    
    Ils se retrouvent avec trois gonzesses devant leur bite, langues sorties. Les jets sont précis et inondent nos visages et nos bouches. On s’embrasse en tombant sur les alèses. On échange notre récolte.
    
    On est tous repus de sexe et c’est en me dirigeant vers la douche que je tombe sur Evelyne en train de sucer la hampe de mon Olivier, Hellène en train de se faire prendre le cul par un Francis en peine forme. Je prends mon smartphone et filme cet instant de débauche. Très bonne petite vidéo pour mon petit Jacques. Je suis sûr qu’il voudra tourner avec ces petits vicieux. Je me masturbe pendant que le premier couple s’active et que le second exulte. Francis éjacule sur les fesses de sa partenaire. Evelyne avale toute la semence de mon petit mec. Ils se relèvent et l’on prend une douche bien méritée.
    
    Ils sont partis après avoir tout rangé. Ma grenouille et moi, on s’endort comme des masses, dans les bras l’un de l’autre.
    
    Il est neuf heures, on a décidé de passer ce week-end en amoureux. Lundi, j’attaque mon poste de secrétaire chez M. Émile ...
    ... (Leclerc). On se met en tenue de plage, on prend vite fait notre café. La voiture de mon homme démarre, direction la plage naturiste près de Hyères, aux salins. Il y a peu de monde. On s’installe donc sous les pins parasols. On va se baigner. L’eau est chaude et translucide. On se prend dans les bras. Un couple de très jeunes filles noir ébène vient nous déranger, on remonte. On est en train de se papouiller quand les deux filles rejoignent leur serviette. Elles, 1m70, je dirai, un très beau cul, elles sont sur le ventre, nues.
    
    — Des jumelles, dis-je, elles ne sont pas ravissantes.
    
    Il se met sur le dos. Il ne bande pas, pas encore, mais les filles sont intéressées. Elles nous matent derrière leurs lunettes noires. Du plat de la main, je caresse sa bite qui se met à gonfler.
    
    — Je pensai que l’on devait passer un week-end tranquille.
    
    — Tu veux que j’arrête ?
    
    — Non, continue.
    
    Les deux filles rigolent et se caressent les fesses mutuellement. Elles sont belles, fraîches. La bite d’Olivier se tend. La plus courageuse des deux nous demande si elles peuvent se rapprocher.
    
    — Venez, plus on est de folles...
    
    Elles sont mortes de rire en ramassant leurs affaires. Elles s’appellent Marie et Jeanne. Elles sont bien jumelles. Elles se mettent de part et d’autre et les mains de nos nouvelles copines se font baladeuses. Olive se fait lentement masturber par Jeanne, moi, j’embrasse Marie et joue avec ses fesses. Sa peau est douce. Je retire ses lunettes. Elle me regarde avec ...