1. L'institution ST Catherine, ou le dévoiement de ma mère...Journal d'une bourgeoise delaissée. (7)


    Datte: 10/01/2019, Catégories: Inceste / Tabou Auteur: antonin mordore, Source: Xstory

    ... son chignon, ses cheveux tombèrent en masse sur ses épaules, tournant langoureusement la tête de façon très féminine, et rabattant ses mèches blondes d’un côté, elle dit :
    
    « Penses-tu que ta mère soit bisexuelle, aimerais tu la voir faire l’amour avec une autre femme devant toi ?
    
    — Humm…heu…ben c’est que je sais pas…
    
    — Voyons Jonathan, j’ai parlé de franchise toute à l’heure. L’imaginerais-tu avec une femme comme moi par exemple ? »
    
    Elle enleva ses lunettes, puis pensive me regarda en mordant une des branches, elle avait un regard brillant et lubrique.
    
    Elle se leva et langoureusement vint s’assoir en face de moi sur le rebord de son bureau.
    
    Alors qu’elle remontait une de ses jambes, je vis sa jupe de tailleur assez étroite, révéler la lisière de son porte-jarretelles…j’avais le regard hypnotisé par cette vision.
    
    Elle se pencha vers moi et comme pour casser l’ensorcellement claqua des doigts, deux fois devant mon visage :
    
    « Hé, Jonathan, tu me regardes droit dans les yeux s’il te plait !
    
    Crois tu que je porte un string en dessous de mon porte-jarretelles ? Dit-elle d’un ton doucereux en me fixant d’un regard torride.
    
    — Ben, humm…je ne sais pas moi …
    
    — Tu as envie de voir ? »
    
    Et ne me laissant pas le temps de répondre, elle se remit sur ses pieds, saisit le bas de sa jupe et le remonta à la taille, découvrant son mont de Vénus, décoré d’une bande de poils blonds, au-dessus d’une vulve bien rose.
    
    Puis elle rabaissa sa jupe, fit le tour de ...
    ... son bureau, ouvrit un tiroir pour y prendre un objet.
    
    Elle me demanda de fermer les yeux et me dit :
    
    « Tu es vierge n’est-ce pas ? Est-ce que tu bandes ? »
    
    J’allais répondre, au bord de l’apoplexie, quand je sentis deux bracelets d’acier se refermer sur mes poignets, et un cliquetis caractéristique.
    
    Cette salope m’avait entravé les mains avec une paire de menottes, qui passaient à l’intérieur des barreaux de la chaise.
    
    Non seulement je ne pouvais plus me libérer les bras, mais en plus je ne pouvais pas me lever non plus, vu le poids de la chaise relativement lourde.
    
    Affolé, désorienté, je ne comprenais pas ce qui se passait, elle posa une main sur mon sexe.
    
    « Oui, ce petit salop bande et même mieux que bien. »
    
    Puis elle alla ouvrir la porte et appela ma mère.
    
    Celle-ci entra et me regarda, nullement étonnée par le fait que je sois menotté.
    
    Les deux femmes se placèrent en face de moi, un sourire mauvais aux lèvres.
    
    Ma mère m’interpella :
    
    « Mon tendre fils, tu es un imbécile, tu aurais du continuer ta lecture de mon cahier au moins jusqu’à la dernière page, tu y aurais appris qu’Évelyne est ma dernière conquête, et qu’on est amantes depuis la semaine dernière ! »
    
    Sidéré par ce que je venais d’apprendre, je le fus encore plus quand je vis les deux femmes s’enlacer, se caresser et s’embrasser à pleine bouche.
    
    Le baiser était long et langoureux, puis les deux se mirent à se caresser, et Évelyne, dézippant la fermeture éclair de la robe de ma ...