1. L'institution ST Catherine, ou le dévoiement de ma mère...Journal d'une bourgeoise delaissée. (7)


    Datte: 10/01/2019, Catégories: Inceste / Tabou Auteur: antonin mordore, Source: Xstory

    Après quelques avertissements adressés à ma mère que le traitement serait certainement long et difficile, vu l’horreur du geste que j’avais osé perpétrer à l’encontre de ma génitrice, la psychanalyste demanda à ma mère de sortir et d’attendre dans la salle contiguë.
    
    Elle devait s’entretenir avec moi de mon degré d’obsession à l’encontre de ma mère. Elle me regarda dans les yeux sans aménité et me dit :
    
    « Bon alors Jonathan, tu dois être le plus franc possible avec moi et me raconter tout ce que tu éprouves vraiment pour ta mère.
    
    — Mais madame…
    
    — On dit « docteur » !
    
    — Heu, docteur, ce n’est pas moi, c’était un coup monté !
    
    C’est ma mère qui a envie de baiser avec moi depuis le début.
    
    Je le sais, j’ai trouvé un cahier dans lequel elle raconte ses aventures sexuelles, et où elle dit qu’elle veut devenir mon esclave sexuelle, et que je pourrai lui faire tout ce que je voudrais …
    
    — Tais-toi Jonathan, non seulement tu es un fils incestueux, mais en plus tu n’es qu’un menteur, un affabulateur !
    
    Voyons ton cas est déjà suffisamment grave, ne rajoute pas la mythomanie à tes perversions.
    
    Reprends depuis le début je t’écoute ! »
    
    Alors devant l’inefficacité de mon système de défense, simplement dire la vérité, je dus broder et inventer mes perversions…enfin inventer, pas vraiment, tout ce que je disais au docteur était juste, à part le fait que c’était ma mère qui était l’instigatrice de tout cela !
    
    Je lui expliquai donc que je me masturbais chaque ...
    ... soir en imaginant ma mère nue, avec ses beaux seins que je prenais à pleine mains, dont je léchais les pointes.
    
    Que je lui caressais le sexe, lui titillais le clitoris, découvrais sa grotte sacrée .
    
    Y mettais mes doigts ma langue…que ma mère se tordait de jouissance sous mes caresses.
    
    J’avoue que mon propre discours m’excitait carrément, mais, surprise de ma part, je me rendis compte que ces fantasmes semblaient exciter également le praticien.
    
    En effet en écoutant mes paroles, la psychanalyste semblait remuer sur son siège, passait la langue sur ses lèvres, battait des paupières, se passait la main dans les cheveux. A un moment elle me demanda :
    
    « Tu aurais envie de sodomiser ta mère ? »
    
    Et disant cela, elle déboutonna un, puis deux boutons de son chemisier, laissant apparaitre la naissance de ses seins qu’elle avait opulents.
    
    Alors que je répondais du mieux que je pouvais, les questions devenaient de plus en plus perverses et intrusives :
    
    « Et tu crois que tu pourrais lui rentrer combien de doigts dans le sexe, elle mouillerait beaucoup selon toi ? »
    
    Je bredouillais un « oui » hésitant, car j’entendais le froissement de sa jupe, j’imaginais qu’elle devait croiser et décroiser les jambes.
    
    Et c’est évident qu’elle commençait aussi à m’exciter cette salope, avec toutes ses questions vicieuses et sa gestuelle. Et je développai une érection assez formidable ; la question suivante me fit m’étrangler.
    
    Alors qu’elle défaisait deux épingles qui tenaient ...
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