1. Un patron très attentionné (2)


    Datte: 10/01/2019, Catégories: Transexuels Auteur: sifeminin, Source: Xstory

    ... beaucoup de liqueur, car je pense que mon stock était vidé pour la journée.
    
    Bien que nos corps soient séparés par quelques épaisseurs de tissu très doux, je sentais la chaleur de son corps sur ma poitrine mais surtout à l’endroit où ses cuisses se collaient aux miennes. Je serais resté des heures collé à elle, à la sentir inerte mais satisfaite et même peut-être amoureuse. Ce moment magique et unique, j’ai pu le savourer un bon quart d’heure, avant que Geneviève ne reprenne ses esprits et surtout son côté directif et autoritaire. Elle avait pris son pied, elle était contente d’elle, sans doute même satisfaite et elle était sur le point de me quitter pour reprendre ses activités la journée. Avant de me quitter, elle m’a embrassé avec passion et gourmandise, elle me tenait fermement le visage et elle me regardait dans les yeux avec son regard coquin et irrésistible.
    
    — Bonne journée ma coquine, prépare-toi à ce que l’on refasse ça souvent.
    
    Cela me faisait tout drôle qu’elle parle de moi au féminin, surtout après que je vienne de la combler sexuellement. Je n’ai plus entendu parler d’elle pendant quelques jours, en même temps cela m’arrangerait car j’avais vraiment peur de tomber amoureux d’elle.
    
    J’avais aussi peur que cela arrive aux oreilles de Claude, qu’il le prenne mal en me licenciant ou pire en venant me casser la gueule. A chaque fois que je croisais le patron au boulot, j’avais toujours l’impression qu’il me regardait avec un œil suspicieux, en fait ...
    ... j’avais l’impression qu’il me regardait effectivement avec un œil différent. Le samedi d’après, quand je suis parti lancer une lessive, je suis tombé sur Geneviève toujours aussi belle et désirable mais surtout excitante. Elle ne m’avait pas entendu arriver, je suis resté là immobile à l’admirer, à épier le moindre de ses gestes durant quelques instants. Finalement je me suis approché d’elle, sans vouloir lui faire peur, je lui ai tapé sur l’épaule, elle n’a pas sursauté.
    
    — Je sens que tu as envie de me baiser sur la machine à laver, n’aurais-tu pas oublié quelque chose.
    
    J’étais impressionné par l’aplomb de cette femme qui me tournait toujours le dos, effectivement l’idée m’était passée par la tête une fraction de seconde. Mais que voulait-elle dire en me disant que j’avais oublié quelque chose.
    
    Personnellement je trouvais que j’étais plutôt opérationnel, vu que j’étais avec mon caleçon et surtout mon érection, bref j’étais prêt à l’emploi pour lui faire du bien. Avec Geneviève je prenais de l’assurance, le petit puceau innocent que j’étais encore voilà peu, était maintenant bien loin, en peu de temps Geneviève avait réveillé l’étalon qui sommeillait en moi. Elle me tournait toujours le dos, maintenant je l’ai saisi par la taille avec pour projet de la faire tourner sur elle-même pour que nous nous retrouvions face à face. Une fois face à moi, j’avais envie de l’embrasser et de la plaquer contre moi, j’avais l’impression que c’était le mâle qui était en train de vouloir ...
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