Un patron très attentionné (2)
Datte: 10/01/2019,
Catégories:
Transexuels
Auteur: sifeminin, Source: Xstory
... me mettre maintenant trois doigts dans mon intimité. J’étais un peu contrarié qu’elle prenne une telle initiative, mais en même temps elle me faisait tellement de bien.
— Tu sais que ton petit cul pourrait vraiment servir de chatte pour un mec. Tu te rends compte, si un mec te voyait dans cette tenue, pendant que je te glisse trois doigts dans le fondement, je pense que ça pourrait lui donner des idées.
Pour l’instant ce qu’elle faisait avec ses doigts me faisait énormément de bien, j’avais même écarté les jambes au maximum pour qu’elle puisse enfoncer ses doigts le plus loin possible. En deux jours, Geneviève avait fait de moi une grosse salope, très ouverte sexuellement parlant, mais de vous à moi, je pense que j’avais de belles prédispositions.
La combinaison entre la contraction de son vagin et l’intromission de ses doigts dans mon intimité, me faisait tellement de bien, que si je ne me retenais pas, je pense que je n’allais pas tarder à jouir. J’étais conscient que si je venais à partir si rapidement en Geneviève, je pense qu’elle m’aurait pris pour un lapin. Il en allait donc de mon honneur, de mon amour-propre que je résiste ce désir de jouir jusqu’à ce que ma partenaire puisse prendre son pied. Dans sa relation sexuelle, Geneviève savait être féline, tout comme être câline mais aussi entreprenante et sans limite. Au fond de moi, je ne concevais pas qu’une femme à ce point gourmande puisse ne pas avoir de relations avec son mari. De temps à autre quand ...
... physiologiquement je pouvais me le permettre, j’essayais de contracter mon sexe pour le rigidifier, au moment où ma partenaire contractait son vagin.
Finalement, et pour mon plus grand soulagement, car j’étais conscient que je n’allais plus pouvoir tenir longtemps, Geneviève a fini par atteindre le septième ciel. Elle s’est mise à pousser des cris qui me mettaient mal à l’aise, tellement ils étaient stridents et puissants.
Pour qu’elle se permette d’ainsi crier sans retenue, il n’y avait pas de doute, son mari n’était pas là. Vu que sa jouissance venait de très loin, elle n’a pas pu se retenir de me griffer les cuisses en profondeur, au point de filer le collant qu’elle m’avait fait enfiler. Elle secouait la tête dans tous les sens et ses longs cheveux lui donnaient un petit air de Gitane. De temps à autre sa robe se soulevait et j’avais une odeur de minou vraiment très agréable à humer. À vrai dire je pense qu’elle faisait exprès de soulever sa robe, pour me faire profiter de ces fragrances intimes, mais très excitantes, pour ne pas dire enivrantes. Une fois qu’elle a quitté les nuages, elle s’est laissée tomber sur moi, j’avais l’impression qu’elle n’avait plus aucune énergie. Elle était d’une douceur que je n’aurais pas soupçonnée, j’avais le visage complètement recouvert de ses cheveux et mon sexe était toujours fermement emboîté en elle.
De mon côté, il ne m’a fallu que quelques minutes pour jouir à mon tour en elle, tout en sachant que je n’allais pas lui déposer ...