1. Alicia et son papa (10)


    Datte: 09/01/2019, Catégories: Inceste / Tabou Auteur: Matt Demon, Source: Xstory

    ... emplit mes narines, iodée et suave à la fois.
    
    J’aspirai le bouton érigé et le mordillai délicatement, récompensée par un tremblement incoercible des cuisses de la femme. Elle posa ses mains sur ma nuque et m’écrasa contre elle, ma langue plongea au cœur de son intimité qui m’inonda de mouille capiteuse. J’avalai le liquide tiède et fis rouler le clito entre deux doigts ; au-dessus de moi, la respiration hachée de madame Rodriguez m’apprit qu’elle approchait de la jouissance.
    
    Le corps secoué de spasmes, elle projeta son pubis en avant, écrasant mon visage sur sa vulve et l’inondant littéralement de son jus abondant. Elle me relâcha peu après, alanguie.
    
    — Pas mal du tout. Je me demande… C’était ta première fois, n’est-ce pas ?
    
    — Oui Madame. Vous avez aimé ?
    
    — Tu sais bien que oui, petite gourgandine. Je vais t’apprendre à faire ta maligne.
    
    Moi, j’ai fait la maligne ? Ils sont sacrément susceptibles, les Rodriguez. Le moindre mot que je prononce est pris de travers. Je crois que j’ai compris, maintenant je ferme ma gueule, si je dois être punie à chaque fois que je dis quelque chose. Eh, c’est quoi ce truc ? Putain, elle porte un gode géant, j’y crois pas, elle va me tuer…
    
    La femme avait sorti d’un placard un gigantesque gode rose aux couilles énormes monté sur un harnachement de cuir qu’elle fixa autour de sa taille. Je remarquai alors un gode de belle taille du côté intérieur, gode qu’elle inséra dans son vagin avant de m’appeler.
    
    — Viens te rendre ...
    ... utile, enfin ! Fais tenir la sangle sur la ceinture, et serre fort, il faut que ça tienne bien.
    
    Elle me tourna obligeamment le dos et écarta les cuisses pour que je puisse récupérer la sangle qui passait à son entrejambe. Le cuir était neuf, rouge et brillant ; je serrai fort, arrachant un petit cri à madame Rodriguez.
    
    — Tu m’as fait mal, idiote. Tu as serré comme une brute… Bon, au moins maintenant le gode ne bougera plus.
    
    Elle se tourna vers moi, triomphante, exhibant sa virilité factice en riant. Une imitation de verge bandée au tronc sillonné de veines épaisses, au gland décalotté plus gros que mon poing. Je déglutis difficilement ; j’allais charger, qu’elle me prenne normalement ou qu’elle me sodomise.
    
    La femme sortit un tube de lubrifiant et en enduisit rapidement le bout puis la colonne avant de me lancer :
    
    — Tu ne pourras pas dire à ton père que je n’ai pas pris soin de ta petite santé : d’abord une douche, maintenant du lubrifiant pour ton joli cul. Allez, à genoux contre le lit, je vais voir si j’arrive à te planter toute la longueur de ce bel organe.
    
    La suite prouva que oui. Malgré mon appréhension, je n’eus pas trop mal quand la femme força mes reins avec son rostre de plastique. Il faut dire que mes muscles anaux avaient été longuement distendus par le port continu de la culotte de néoprène et de ses bites artificielles. Ensuite, mes organes internes ont dû se réarranger pour laisser passer le volumineux engin. À la fin, il traversait mon ventre ...