1. Alicia et son papa (10)


    Datte: 09/01/2019, Catégories: Inceste / Tabou Auteur: Matt Demon, Source: Xstory

    Hélas tout vola en éclat lorsque Georges dégagea complètement les godes ; de mon anus béant et de l’épais cylindre qui le remplissait monta une odeur trop reconnaissable.
    
    — Mon Dieu, quelle infection, déplora madame Rodriguez. Georges, conduisez cette malpropre fille de rien dans le local poubelle et nettoyez-la en profondeur, à l’écouvillon et au savon noir. Vous la conduirez dans ma suite une fois ses orifices récurés.
    
    Mortifiée, je me laissai pousser sans réaction dans une petite pièce cimentée qui abritait de grandes poubelles de couleurs différentes : les riches aussi pratiquent le tri sélectif ! Georges enleva posément sa veste et la suspendit à une patère puis saisit un tuyau d’arrosage. Il ouvrit le robinet d’arrivée en expliquant :
    
    — Je crains de n’avoir que de l’eau froide ici. Mets-toi au centre, au-dessus de la grille d’évacuation.
    
    Après une longue séance de douche glacée, je claquai des dents tellement j’étais gelée. Mon anus continuait à expulser l’eau dont mes intestins avaient été emplis plusieurs fois, ma peau était couverte de chair-de-poule. Pour m’essuyer, le majordome me jeta un torchon effiloché.
    
    — Dépêche-toi, Madame n’aime pas attendre !
    
    Il partit devant moi et je le suivis donc en grelottant, me demandant ce qui m’attendait encore. Il frappa respectueusement à une porte, entendit sûrement une réponse et me fit signe d’entrer. Madame Rodriguez m’attendait au centre de la pièce, debout devant un grand lit. Elle avait troqué son ...
    ... tailleur chic pour un déshabillé ivoire en dentelle et soie sous lequel elle était manifestement nue. D’ailleurs, elle écarta les pans de son léger vêtement pour exposer sa nudité.
    
    — Alors, comment me trouves-tu ? Réponds franchement.
    
    — Vous êtes très belle, Madame.
    
    C’était la vérité ; sa poitrine voluptueuse et à peine soumise à la gravité dardait de larges aréoles brunes tranchant avec la peau laiteuse et préservée du soleil. La taille était fine malgré un léger ventre rond, le pubis charnu s’ornait d’un triangle brun. Cette femme était superbe, sans nul doute.
    
    — Merci. À genoux, lèche-moi. Et applique-toi, je ne suis pas patiente.
    
    — Je n’ai jamais… D’accord, oui Madame.
    
    Ouais… J’ai l’impression d’être devenue une marionnette, moi. Une poupée qui dit oui. D’un autre côté, je sais ce qui m’attend si je dis non. Papa va vite le savoir, et il me punira encore. Dont acte, j’aime autant accepter tout ce qu’on me demande. Là, ça ne doit pas être bien terrible ; je n’ai jamais fait ça à aucune femme, mais elle doit être comme moi. Et je sais ce qui me plaît, je n’ai qu’à reproduire ce que j’aimerais qu’on me fasse.
    
    Je commençai par quelques prudents coups du bout de la langue sur sa fente glabre, auxquels la femme répondit par un léger frémissement. Je m’enhardis en posant mes mains dans les creux de l’aine et en écartant légèrement les grandes lèvres bien charnues. Ma langue glissa alors de bas en haut, finissant sur son clitoris épais. L’odeur prégnante de cyprine ...
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