CADEAU DE NOËL
Datte: 09/01/2019,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
Auteur: Alainylon, Source: Hds
... si douce et chaude. Peu à peu ma main fit son chemin, parvenant sur le renflement pubien. Anna vint au-devant de ma tendresse, alors que je passais mes doigts dans la forêt de poils fin et doux. Continuant, leur pèlerinage, ils trouvaient le clitoris durci qu’ils dégageaient de son capuchon. Le majeur appuya dessus et le frotta de plus en plus vite. Elle respirait bruyamment, ouvrant et refermant les cuisses.
Mes doigts abandonnaient alors son petit bouton pour atteindre la fente et ses petites lèvres, puis le trou béant du vagin inondé. C’était d’abord le majeur qui le pénétra, s’en suivit l’index et enfin de l’annulaire. Ma main opérait alors au plus profond de son antre. Un massage lent et circulaire. Elle remuait des reins, de plus en plus vite et de plus en plus violemment, provoquant un bruit humide.
Elle s’offrait à ma main. Écartant tant qu’elle le pouvait les cuisses. Elle gémissait, d’un gémissement langoureux, non feint, sous ma masturbation de plus en plus effrénée. Je percevais chez elle un trouble réel.
Je me déboutonnais. Exhibant ma verge. Je me suis saisis du poignet d’Anna, et lui fit prendre ma verge. Instinctivement, elle commençait à faire coulisser la peau sur le gland au même rythme que ma main qui la fouillait. Mais très vite je me lassais de la branlette, qui me procurer pas plus de plaisir que ça. Et je lui fis part d’une proposition, avec une voix câline :
- Cela te dira que je remplace ma main par ma langue ?
- Quoi ! T’es fou. Non ...
... pas comme ça… là… maintenant.
J’augmentais la cadence de ma branlette, tout en lui murmurant à l’oreille avec un ton, plus pressant :
- Tu ne vas pas me dire que ne t’aime pas jouir sous une langue, dit-moi ?
- Non Alain, fit-elle d‘une voix rauque, il ne faut pas ! dit-elle toute paniquée.
- Tu n’aimes pas te faire sucer ?
- Tu sais ! Questions préliminaires… moi je ne connais pas trop. Mon époux est du genre… comment dire : direct. Il passe tout de suite au plat principal, pas d’entrée chez lui en quelque sorte.
- Oui, je veux bien croire ce que tu me dis, mais moi je te propose une entrée, là tout de suite, fis-je.
- Oui… j’ai bien compris. Mais… mais pour ça. Bafouilla-t-elle. Il… il faut que je me toilette… si tu vois… ce que je veux dire. Je ne me sens pas… présentable…
- Au contraire ma belle. Je sens chez toi une femme excitée, et moi, tu sais ? Et bien j’aime ça…
Elle prit son temps pour réflexion. Entre temps j’avais cessé de la branler. Le détaillant détaillait avec un sourire gourmand. Je caressais les fesses. Explorais la raie profonde où palpitait la rondelle brune de l’anus brun violacé, aux fronces en soleil, luisait au centre de la raie tapissé de poils sombres englués de sueur.
J’enfonçais l’index dans l’orifice brûlant, entamais un va-et-vient rapide. Haletante, elle resserrait son sphincter autour de mon doigt qui coulissait dans son rectum. Elle creusa ses reins pour bien saillir sa croupe. Prenant la position idéale, Je lui ...