1. SOUS LA ROBE...


    Datte: 08/01/2019, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Alainylon, Source: Hds

    ... discussion un peu agité, j’ai pris de plus en plus d’assurance. À un moment comme il fallait bien que tout cela cesse je me suis glissé sur le côté. Me collant contre le mur. Lui laissant un passage d’environ un mètre cinquante entre moi et la rampe.
    
    - Je pense que là madame, vous allez pouvoir entrée chez vous.
    
    - Il me semble que je t’ai dis de foutre le camp d’ici. Non ?
    
    - J’attends madame, mon pote qui habite cette cage. Comme vous le savez bien. Pour m’avoir à maintes fois vue avec lui.
    
    - Il pourrait d’arrivé des bricoles pour me manquer de respect.
    
    - Ah oui ! Et je peux savoir lesquelles ? Vous allez le dire à ma maman !
    
    - Je t’en fais la surprise.
    
    Elle m’a fixé avec un pli moqueur au coin de la lèvre. Puis elle s’est décidée, enfin ! À gravir les marches. Là je ne sais pourquoi mon regard s’est posé sur son genou enrobé de nylon. À seulement quelques centimètres de mes yeux. Que j’ai trouvé excitant. La tentation fut trop forte pour moi. Je n‘ai pas pu me refreiné de bondir sur elle et la coincer contre la rampe.
    
    - Mais ça ne va pas ! Tu vas me faire tomber. Petit con, aboya-t-elle. Lâchant son parapluie qui dévala les marches, finissant sa course sur le tapis.
    
    J’ai profité de sa décontenance pour plonger mon visage sous sa robe bleue. Humant les odeurs qui se dégager de dessous. Elle a posé une main sur mon crâne, prête à me repousser.
    
    - Vous sentez bon. Lui lançais-je.
    
    Mon visage était tout contre sa peau nue, au-dessus de bas, alors ...
    ... que plus haut elle gesticulait. Comme un poisson hors de l’eau. Mais j’avais plus de force qu’elle, ce qui m’a permis de poser mes doigts sur sa cuisses. À quelques millimètres de l’ourlet de la culotte. La tentation était si forte que j’ai glissé un doigt entre la peau et le tissu pour enfin toucher les poils.
    
    - Arrête tout de suite… tu m’entends ! L’entendais-je m’ordonner.
    
    J’ai écarté son sous-vêtement, tant que je le pouvais et j’ai approché mes lèvres de ses poils pubiens odorants. L’odeur de pisse à la fois âcre et douceâtre, m’a remplit les narines. Du bout de la langue, j’ai léché doucement la fente qui séparait les lèvres et la vulve. Qui s’est ouvert sous la pression de ma langue. La plongeant dans le transpirant. D’une ruade, elle a pu se libérer de ma prise, et par la même occasion monter quelques marches, pour s‘écarter de moi. Là elle a frappé le sol du talon de sa botte.
    
    - Petit con ! Me fit-elle en se rajustant. Je te ferais payer cela… très cher, crois moi ! Très cher !
    
    - Comme vous allez, là, madame ! Je suis sûr que cela n’a pas été pour vous déplaire.
    
    - Tu mériterais que j’aille à la police.
    
    - Ne vous gênez pas, madame. Si vous le désirez je vous accompagne.
    
    Comme elle ne bougeait pas. Je me suis empressé de renchérir. - Je suis sûr que vous n’en ferez rien.
    
    - Ah oui ! Tu es bien sûr de toi. Et qu’est-ce qui te fait dire ça ?
    
    - Je m’attendais à prendre un déluge de coups. Que vous vous mettiez à crier pour qu’on vienne à votre ...
«1234...»