1. SOUS LA ROBE...


    Datte: 08/01/2019, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Alainylon, Source: Hds

    En ce vendredi après-midi, j’étais dans le hall de la cage d’escalier de mon pote de quartier. Attendant patiemment qu’il veuille bien descendre de chez lui comme nous l’avions convenu ce midi alors que nous rentrions des cours. J’aurai pu aller toquer à sa porte me direz-vous ! Mais je ne l’ai pas fait et pourquoi ? Tout simplement parce que mon pote a une sœur. Et qu’elle est pincée pour moi. Au point d’être une vraie sangsue à chaque fois que je passe la porte de l’appartement de ses parents.
    
    Alors pour patienter, j’ai regardé à travers la porte vitrée, le défilé de passants s’abritant sous leur parapluie de la pluie qui tombait sans s’interrompre depuis la vieille. Me laissant bercer par l’odeur de la pluie qui flottaient dans l‘air. C’est alors que la personne la plus détestable de la cage d’escalier fit son entrée. Merde la tuile ! Et il était plus question pour moi que je sorte. Cela lui aurait fait trop plaisir. Je ne sais pas pourquoi mais elle ne m’a jamais porté pas dans son cœur. Pourtant elle aurait pu être belle si elle prenait soin de se maquiller, ou de s’habiller d’une manière moins sévère.
    
    Petit à petit l’odeur de pluie fut remplacée par celui du parfum de femme. Bien sûre qu’elle m’a aperçu en pénétrant les lieux. Comme elle n’a pas aussi répondu à mon salut. Mais cela n’était pas nouveau chez elle.
    
    Elle a secoué son parapluie et s’est avancée jusqu’au pied des boites aux lettres. Pendant qu’elle s’occupait à récupérer son courrier, j’en ai ...
    ... profité pour aimanter mon regard sur sa paire de jambes enrobé de nylon opaque bleu foncé que son imperméable ne pouvait cacher. Une faiblesse chez moi. Putain ! Que j‘aimerai mis frotter comme l’aurait fait un chat ! Me disais-je pour moi-même.
    
    Avec de telle pensée, il m’était difficile de contrôler mon excitation. Affichant une forte érection. Qui était difficilement camouflable au fond de mon pantalon.
    
    Du côté des boites à lettres, la femme a fourré son courrier dans sa poche avant de récupérer son parapluie. Puis elle a commencé à gravir les marches, faisant claquer les talons de ses bottes en cuir sur le sol.
    
    Si j’aurai pu me faire disparaître je l’aurais fait. Je m’attendais d’un moment à l’autre à être agresser verbalement. Alors qu’elle fut à quelques centimètres d’où je me trouvais, je l’entendis pousser un souffle de contrariété. Et comme c’était prévisible, m’apostropha
    
    - Tu comptes peut-être me laisser le passage ?
    
    - Mais vous avez assez de place, madame.
    
    - Ah oui tu trouves, toi ! Me fit-elle d’une voix contrariée.
    
    - Mais voyons ! Il ne faut pas exagérer, regardez ? Vous avez un mètre !
    
    - À ce que je sache tu n’habites pas là ? Non ? Je me trompe ? Donc il serait judicieux que tu foutes le camp.
    
    - Sinon ? Fis-je.
    
    - Sinon tu risques de le regretter. Elle eut un rire de gorge.
    
    - Ah bon ! Répliquais-je. Une fessée ?
    
    - Cesse de plaisanterie ! Morveux !
    
    Son jeu, si je pouvais appeler cela comme ça, m’a amusé. Au point qu’au fil de la ...
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