Il adore les enfants
Datte: 08/01/2019,
Catégories:
fh,
cadeau,
cocus,
vacances,
Oral
pénétratio,
fsodo,
confession,
Auteur: VincentLise, Source: Revebebe
... douce Maeva gémir sous les assauts de cette bite de substitution. Elle n’a rien remarqué. Elle ne cesse de m’encourager :
— Chéri, c’est bon, c’est bon.
Elle se tortille. Elle se redresse. En levrette elle a toujours tendance à vouloir se redresser pour mieux sentit la queue qui la baise. Alors que moi j’aime mieux la voir, cambrée, la tête sur le lit et pouvoir l’enfiler plus profondément. Et surtout ce que je préfère, c’est… oui, comme cela… exactement comme cela… : comme Rémy la conduit, sans parler, sans forcer, juste par de douces pressions.
Oh, oui c’est beau. Le voir me prend aux tripes. Maeva la croupe en l’air et cet homme, les pieds sur le lit, les genoux fléchis plongeant sa queue dans la fente avec un angle improbable. Vu de l’extérieur il y a un côté « bestial », un côté « femelle couverte par le mâle » que je ne soupçonnais pas en le pratiquant. Pourtant c’est beau et Rémy se dépense avec ardeur. Je ne doute pas que ma présence lui donne des ailes. Il a une réputation à tenir.
Je les regarde. Les gémissements de ma femme me paraissent un peu dérangeants au début. Une femme honnête ne devrait pas dire son plaisir alors qu’un amant la baise. Mais elle ne le sait pas. Ses gémissements sont pour moi. S’ils me paraissent plus forts que d’habitude c’est parce que j’y suis moins attentif, concentré sur mes efforts et ma propre jouissance.
— Je viens. Je viens. Chéri c’est bon, c’est bon… Viens avec moi, viens… Je t’aime.
Ces quelques mots balayent ...
... toutes mes incertitudes. Et si celui qui jouit dans ta matrice n’est pas moi, quelle importance ? Oui, ces quelques mots me réconfortent et chassent mes angoisses, la peur d’avoir imaginé un scénario ridicule pour ne pas me sentir exclu de cette « création ».
Le couple se calme lentement. Rémy se retire, abandonnant la semence que je suis incapable de produire au plus profond de la matrice. Non, je ne regrette rien. Au contraire, j’avais raison. Même si c’est « tordu », au moins c’est naturel.
Rémy s’éclipse discrètement. Je reste seul avec Maeva. Elle s’allonge. Je lui retire son bandeau. Son regard est un océan de tendresse.
— Merci mon amour, dit-elle, alanguie.
— Merci de quoi ?
— Mais de tout. De cet instant. De l’amour que tu portes à ton fils.
Je pourrais mourir. Jamais je n’entendrai paroles plus douces. Ton fils ! Et pourtant non, je veux vivre, justement pour Mon Fils et peut-être celui ou celle qui va venir. Car il va venir… Mais elle continue.
— Je sais ce que cela représente pour toi. Je comprends combien pour un homme la virilité peut se confondre avec la fertilité. Mais chaque jour tu m’as prouvé que cela n’est pas vrai. Et aussi, quel courage. Quelle abnégation d’inviter Rémy. Je suis fière de toi et je ferai tout pour que toi, tu le sois de moi.
Il existe tant de façon d’avouer à un être cher qu’on l’aime. Il faut reconnaître que d’entendre sa femme dire qu’elle fera tout ce qu’il faut pour avoir du plaisir avec un amant, ne fait pas partie ...