Il adore les enfants
Datte: 08/01/2019,
Catégories:
fh,
cadeau,
cocus,
vacances,
Oral
pénétratio,
fsodo,
confession,
Auteur: VincentLise, Source: Revebebe
... d’étoffe modifie notre relation, au moins au début. C’est moi qui la guide. Je la fais asseoir sur le bord du lit. Ma verge déjà tendue trouve la chaleur de ses lèvres. Maeva me suce délicieusement. Verra-t-elle la différence lorsque ce sera la bite de Rémy ? Verra-t-elle la différence lorsque ce sera lui qui la caressera, la baisera ? Franchement je ne sais pas. Nous sommes de la même taille, mais pour le reste ! Et puis, quelle importance ?
Elle me caresse les couilles et les enveloppe dans une paume de main brûlante et moite. Ma tige s’est couverte de sa salive. Mon gland concentre en lui toute la sensibilité du monde et la coquine sait en profiter. Je gémis.Chut, me dit une petite voix,il faudra penser le rappeler à Rémy de ne pas se faire reconnaître ainsi.
Si je la laissais faire, elle me pomperait et boirait mon jus. Je ne connais rien de plus « bandant » que de la voir jouer avec mon foutre, le pousser de la langue et le boire. Dans ces moments-là, Maeva est la « salope parfaite », celle que tout homme rêve de découvrir derrière la mère de famille bien propre sur elle.
Mais j’ai d’autres envies. Je la repousse. C’est moi qui plonge entre ses cuisses. La nuisette ne cache rien, au contraire. Repousser le tissu transparent est déjà un plaisir. Elle est humide. Sa fente est étroite et les petites lèvres en montrent le chemin. Ma langue en connaît chaque recoin, mes lèvres savent en jouer pour la faire gémir.
Oh oui, gémir et m’encourager en me guidant de ses ...
... mains.
Oh oui, mon amour, tu aimes ce que je fais.
Oh oui, montre que ton mari est un bon amant et que si ses couilles sont faiblardes cela ne joue pas sur sa dextérité.
Oh, oui !
D’un bond, je me relève. Les cuisses sont ouvertes pour moi. Mon dard se place. J’entre. D’une poussée. D’un coup de reins. Je disparais en elle. Déjà ses jambes cherchent à m’emprisonner. Mais je la retiens. Des jambes, je forme un V qui me soutient. Je veux que sa vulve soit bien visible. Je veux que l’on puisse voir ma queue entrer et sortir dans cette fente que j’aime tant.
Mais je veux aussi qu’on entende le claquement de mon ventre contre les fesses. Que ses gémissements soient les miens.
Je veux, je veux !
Oui, que Rémy sache que je lui confie ce que j’ai de plus précieux. Rémy qui est juste à quelques pas, en retrait. J’ai voulu qu’il soit présent. Je sais que ce n’est pas très élégant vis-à-vis de ma femme. En principe, cela devait commencer demain. Mais j’ai peur. Oui, peur de ne pas tenir le coup. Tout à l’heure en les voyant danser j’ai pensé qu’ils faisaient un beau couple. Aurais-je le courage de les laisser seuls alors qu’ils vont baiser ? Pour la bonne cause, certes, mais aussi avec plaisir.
Mais qu’est-ce qui m’a pris de me lancer dans cette idée rocambolesque de la conception par la jouissance ? Vous en connaissez beaucoup de maris qui demandent à leur femme et son amant de, surtout pendre leur pied, pendant qu’ils baisent ?
Oui, je sais que cela existe. ...