Il adore les enfants
Datte: 08/01/2019,
Catégories:
fh,
cadeau,
cocus,
vacances,
Oral
pénétratio,
fsodo,
confession,
Auteur: VincentLise, Source: Revebebe
... si parfois elle se laisse emporter jusqu’à ce que je jouisse dans sa gorge, et venant me chevaucher. Cavalière sensuelle d’abord, ondulante sur ma queue devenue une cheville dressée. Cavalière plus engagée, montant et descendant sur moi, attirant mes mains pour que je lui caresse les seins et lui torde les tétons comme elle l’aime tant. Puis cavalière déchaînée afin que ses mouvements provoquent ma jouissance qu’elle accueille avec un sourire de vainqueur avant de « se finir » par quelques caresses sur son clitoris.
Quelques mois passent. Mathis grandit. Il est le joyau de ses parents. Notre fils fait le bonheur de toute la famille. Pourtant ma mère me susurre que ce serait merveilleux si nous en avions un autre, une fille.
Souhaiter est une chose. Moi aussi j’aimerais que nous puissions avoir un autre enfant. Mais la nature dispose. J’en parle à Maeva.
— Tu sais, j’ai arrêté la pilule depuis que tu m’as parlé. Mais rien. Ce n’est pas ainsi que nous y arriverons. Il faut envisager autre chose.
— Moi, de mon côté, le toubib m’a dit que la probabilité que les traitements réussissent sur moi est quasi nulle.
— Alors il faut essayer les autres techniques. Il paraît que cela marche.
— Peut-être, mais au bout de combien de tentatives ? Et quelle froideur ! Je ne crois pas que je pourrais accepter cet envahissement de notre intimité. Pour moi, un bébé doit être conçu avec amour, avec du plaisir, que les deux concepteurs soient heureux, qu’ils jouissent au moment où la ...
... rencontre se prépare. C’est pour cela que notre Mathis est si beau. C’est un enfant de l’amour. Notre amour et…
Je m’aperçois que j’aborde un sujet délicat. Depuis l’aveu de Maeva, de cette faiblesse pendant le mariage, je me suis renseigné. J’étais persuadé que, même saoule, ma femme ne se livrerait pas à un inconnu et encore moins sans capote. Il n’a pas été difficile de savoir qui l’avait raccompagnée. C’était Rémy. Tout était devenu plus clair. Rémy avait été un copain à elle et c’est ainsi que j’ai fait sa connaissance. Rémy, très lointain parent, la trentaine avancée, très beau gosse, charmeur, séducteur invétéré avait débarqué avec Maeva à son bras. Le reste, on l’imagine facilement. Elle s’est séparée de lui, car il la cocufiait honteusement, et avait trouvé refuge dans mes bras musclés. Donc, à la noce, bien alcoolisée elle avait cédé à ses avances. Tout était plus clair. Pas une baise de viandes saoules, juste une baise, genre piqûre de rappel et souvenirs inclus.
Donc je reprends après quelques secondes de silence :
— Oui, je disais, un enfant de notre Amour, mais aussi conçu dans le plaisir c’est une évidence.
— Je t’ai dit que je ne m’en souvenais pas.
— Chérie, je sais que tu as voulu m’épargner en ne me parlant pas de Rémy. Mais je préfère une faiblesse avec un ex qu’une nuit avec un inconnu.
— Tu savais ? Tu m’as espionnée ? C’est moche.
— Mais pas du tout. Je ne te voyais pas coucher avec le premier venu, même bien alcoolisée. C’est plutôt une ...