Sarah de Mantes
Datte: 08/01/2019,
Catégories:
fh,
fplusag,
extracon,
gros(ses),
grosseins,
groscul,
Voyeur / Exhib / Nudisme
pénétratio,
occasion,
Auteur: Mouss, Source: Revebebe
... bien sentir mon bâton de berger à travers sa robe et mon jean.
Comme je suis sur la pointe des pieds, je perds l’équilibre et je me rattrape en posant ma main sur sa hanche. C’est là qu’elle me dit :
— Mouss, je sens ta grosse bite sur mes fesses, et ça m’excite. Bouge pas, ça me fait du bien.
Son cul fait des va-et-vient de bas en haut en faisant attention de ne pas se faire voir par les voisins.
Elle commence à gémir tout doucement quand elle me dit :
— Avant d’aller plus loin, promets-moi d’en parler à personne, mais vraiment à personne ?
— Promis !
— Oh ! C’est bon de sentir une queue par derrière. Bon, fait quelque chose, enlève ton pantalon. Ne joue pas le timide !
Il ne faut pas me le dire deux fois. Je lui empoigne le sein droit et j’accentue le frottement, fortement entre ses fesses et mon glaive. Elle a des frissons. Puis je ne sais pas ce qui me prend, je lui dis :
— J’arrive Sarah…
Je reviens après avoir retiré mon jean et mon caleçon souillé. Elle est toujours à la fenêtre en train de regarder les jeunes s’emboucaner avec les flics. Je soulève sa robe, pour que ma queue soit au contact de sa culotte et je commence par lui faire des bisous dans le cou en lui caressant le minou et en jouant avec ses lèvres. Sa culotte est dans un sale état. Je coince ma bite entre ses cuisses. Avec mes doigts, je frotte mon gland sur son sexe. Du bout des doigts, je lui caresse ses énormes piliers, ses lèvres, son clitoris, j’enfonce un doigt, puis ...
... deux…
— Comment tu me fais mouiller ! Salopard, continue… Comme çà, oui Mouss !
Ensuite, je lui enlève sa culotte et je retrousse sa robe jusqu’à la taille. Je continue pour avoir un lubrifiant naturel en quantité suffisante sur mon sexe. Elle aime ça… et moi aussi, pardi… Jusqu’au moment où elle me prend Oscar avec sa main pour le mettre directement dans son antre.
Sentir ma clef rentrer dans cette serrure toute chaude, c’est bon !
Les cowboys sont toujours là. Les jeunes aussi, de plus en plus, car ce contrôle n’en finit pas. Je continue à remplir Sarah en douceur mais avec vigueur. Je la tiens par ses grosses hanches quand, tout à coup, elle me dit :
— Attends, je vais prendre la serpillière pour éviter de dégueulasser la cuisine.
Elle a à peine le temps de se baisser pour prendre la serpillière à l’autre bout de la cuisine, que je l’enfourche sur la table. Son pied sur la chaise, je m’arrête de temps en temps pour lécher sa croupe avec ma langue.
— Oh, Moussssssssss ! Vas-y, encore ! Ahhhhh ! Après, on ira dans la chambre. J’ai envie de te monter.
Arrivés dans la chambre, elle me pousse sur le lit, saute sur ma queue et s’empile dessus. Je mordille ses tétons pendant qu’elle s’active sur ma queue. Cette sensation de glisse sur mon «tournailleur », la sueur aidant, son jus qui dégouline tel un coulis de vanille-poire sur deux boules de glace au chocolat, c’est plus sensuel qu’avec les pin-up que je sors.
Alors, elle se redresse pour titiller son bouton ...