Sarah de Mantes - Histoires de Sexe

Sarah de Mantes

... la porte se trouve entre elles. Elle prend le sac en me faisant un clin d’œil.

— Je prends une douche et j’arrive. Je vais te faire à manger.

Dix minutes plus tard, alors que je range les surgelés dans le congélo grand ouvert (histoire de me calmer un peu), elle réapparaît dans une robe de chambre, un peu mouillée du fait qu’elle s’est mal essuyée et sans soutien-gorge. Ses gros seins, qui tiennent encore bien pour une femme de 47 ans, montrent leurs tétons. Je vois sa culotte à travers la robe de chambre. Je commence à bander comme un âne et Sarah lorgne sur mon pantalon. Elle se baisse, s’assoit, monte sur les chaises pour ranger ses courses. Je l’aide à ranger en matant ses nibars et en imaginant sa croupe à travers sa robe.

— Qu’est-ce que tu veux manger, Mouss ?
— Te prends pas la tête…
— Une salade avec une paella et du fromage en dessert ?
— OK, ça marche ! Je t’aide pour la cuisine ?
— Non, va au salon, j’en ai pas pour longtemps.

Elle revient cinq minutes plus tard avec plein de plateaux. On mange au salon sur les canapés assez profonds. Sarah est assise en face de moi. Je peux voir ses grosses cuisses qui cachent son minou mais je vois sa culotte. Je ne sais même plus ce que je mange. On parle de tout et de rien puis vient le moment où elle me parle de mariage, de bien choisir ma future femme.

— Je t’ai déjà vu, je crois, avec ta copine. Tu es toujours avec elle, la grande brune, là ?
— Non, elle, s’était la fille d’un soir.
— T’en as beaucoup ...

... comme ça ?
— Oui, non…

Je ne sais plus quoi dire, coincé. Elle voit que je mate sa culotte sous sa robe. Pour ça, je suis pas coincé…

— Tu me diras, il faut bien se vider les couilles !
— Sarah !
— Quoi, t’as honte ? Pour quelqu’un qui regarde ma chatte pendant qu’on mange ?

J’étais rouge «TESTA ROSSA », pour un black, ça fait bizarre…

— C’est mes gros seins qui t’excitent ?
— Arrête, Sarah…

À ce moment précis, je voudrais partir, me sauver, fuir mais…

— Excuse-moi, ça fait longtemps que je n’ai pas pris mon pied. Tout le monde sait que mon mari est un coureur. J’arrive, je vais te chercher du piment.

Pour se lever du canapé, il faut qu’elle écarte les cuisses et qu’elle prenne appui avec ses mains. Elle se lève en me regardant, en souriant et en pensant que mes yeux étaient rivés sur son minou.

— Viens voir, Mouss, il y a la police.

En arrivant dans la cuisine, elle se cache derrière les rideaux pour regarder la police effectuer un contrôle d’identité sur des jeunes. Pour regarder par la fenêtre sans être vu, il faut que je me colle à Sarah qui me tourne le dos.

— Pousse-toi, je ne vois pas.
— Non, reste derrière moi.

Pour voir le spectacle, il faut vraiment que je la colle, sur la pointe des pieds. J’ai peur qu’on m’aperçoive chez elle. Je fais attention. Et à force d’être collé à ses fesses volumineuses, je commence de nouveau à avoir la trique. Sarah s’en est vite aperçue et elle commence à bouger son popotin de gauche à droite pour ...