1. Police polissonne (6)


    Datte: 07/01/2019, Catégories: Hétéro Auteur: Pikatchu, Source: Xstory

    Il est 9 heures et en ce matin du 2 juillet 2015, le soleil darde déjà ses rayons au travers de la baie vitrée. Katia, étendue sur le ventre en travers du lit, les jambes grandes ouvertes et la minette humide, dort encore. Quant à Marc, il s’est levé depuis déjà un bon moment. Il a eu le temps d’aller acheter des croissants, de consulter la main courante, de se doucher, et de préparer le café. En attendant que le café finisse de passer, il admire la vue sur Marseille, la Basilique Notre-Dame-de-la-Garde d’où culmine la statue de la Vierge à l’Enfant ; scintillante de mille feux sous le soleil levant. Au loin le port et tous ces ferries et cargo qui crachent leur fumée noire, épaisse et chargée de particules que la brise matinale pousse vers la ville, toute cette pollution, avec ces milliards de particules qui salissent la ville et ruinent la santé des habitants, la met en colères. Il se dit que tout à l’heure, il va en parler au Président ; la cafetière siffle, elle a terminé de passer le café. Il se retourne et son regard balaye le corps nu de Katia ; lui aussi est nu, comme à son habitude. La vue de Katia le ramène à leurs ébats de cette nuit qui ravivent sa libido et une érection commence à pointer le bout de son gland ; bref il bande ! Il sourit et ce dit qu’une bonne petite pipe serait la bienvenue. Il s’installe sur le lit de façon à ce que la belle endormie puisse poser sa tête sur ses abdos, elle s’étire et semble apprécier la position, car elle s’installe ...
    ... confortablement. D’après ses calculs, quand son sexe sera en pleine érection, il atteindra le nez ou la bouche de Katia ; il se concentre sur leur nuit et laisse grandir son vit.
    
    Il a atteint son but, il sent à présent le souffle régulier de la belle sur son gland : « Elle dort encore » pense-t-il. Encore un petit effort et son gland touche les lèvres qui s’ouvrent en laissant passer une langue gourmande qui, à petits coups, humidifie le bout de l’engin. Il lui caresse le dos et descend jusqu’à ces fesses, elle bouge et embouche le mandrin qui sent bon leBleu de Channel. Elle le suce, le lèche et le mouille avec délicatesse ; à coups de reins elle remonte pour qu’il puisse atteindre son intimité. Il a compris et laisse glisser sa main vers les fesses, puis la raie de ce petit cul ; du bout des doigts il caresse l’anneau brunâtre. Elle roule des fesses, gémit, et pompe le membre. Il lui enfonce un doigt dans le cul, elle glousse, puis un second ; elle couine de bonheur.
    
    Elle saisit les bourses et les malaxe comme si elle pétrissait une boule de pâte à pizza, puis remonte sur la hampe et la masturbe en même temps que sa bouche fait le même mouvement sur le gland. Marc sait que ce genre d’exercice ne dure jamais très longtemps, car le matin il est du genre expéditif, alors il lui fourre deux doigts dans la chatte elle cri de surprise mais se venge sur le phallus et l’astique. Quand Marc lui met deux doigts dans le cul en plus des deux qu’elle a déjà dans la chatte ; il lui éjacule ...
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