1. Ma femme est peut-être forte mais c'est une bombe (1)


    Datte: 16/02/2018, Catégories: Erotique, Auteur: caribonex, Source: Xstory

    ... et on y entre impatients...
    
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    (Voilà on y est)
    
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    D’habitude, je prends les escaliers, mais d’un accord tacite, on prend l’ascenseur. Oh ce n’est pas pour lui éviter des efforts, c’est simplement que la tension est devenue trop forte. En effet, la porte à peine refermée, on se jette l’un sur l’autre et on se roule des galoches toujours plus excitantes. Je caresse ses fesses, mes mains s’y perdent et elle passe sa main sur l’érection qui déforme mon pantalon en laissant échapper un gémissement approbateur qui me fait comme à tous les hommes du bien à l’ego.
    
    Quand on arrive au 4°, on est un peu débraillés tous les deux, ma chemise est sortie du pantalon, sa robe d’été est relevée, nos yeux sont brillants et nos cheveux échevelés.
    
    J’ouvre la porte avec une succube collée à moi et on titube à l’intérieur de mon deux pièces. Je referme la porte d’un coup de pied en arrière et la guide vers ma chambre et mon grand lit. Avant d’y arriver, mon pantalon m’a été enlevé, sa robe perdue, son soutien-gorge de dentelle vert eau défait. Je la fais tomber sur le lit et enlève le reste de mes vêtements en la regardant se déshabiller.
    
    On parvient à se regarder, à se mater, je vois ses yeux parcourir mon corps, se fixer sur mon sexe tendu avec un vrai sourire appréciateur puisqu’elle me dit " t’est vraiment gâté par la nature mon salaud " et je lui renvoie la même appréciation en lui lançant " et toi tu m’as ...
    ... tout l’air d’être une vraie bombe".
    
    Elle a vraiment de très beaux seins, imposants, lourds, aux tétons rouges/bruns qui sont déjà dardés et ses bourrelets ne se voient pas devant la sensualité qui se dégage d’elle. Son buisson blond forme un joli triangle bien net et sa petite chatte, parfaitement dégagée et déjà perlée de rosée.
    
    On continue à s’embrasser à s’en mordre les lèvres, sans complexe, sans pudeur. Ses mains sont partout sur mon corps et ses soupirs sont une douce mélodie à mes oreilles.
    
    — Je veux te bouffer ma chérie.
    
    — Rien ne me ferait plus plaisir.
    
    Je me jette à langue perdue sur sa jolie chatte blonde, la picorant de baisers et de petits suçons doux, plongeant ma langue dans son vagin vraiment humide de cyprine. Je lève le regard et mon érection se tend encore plus, car elle me regarde à son tour, empoigne son sein gauche, le porte à sa bouche et en aspire le téton avec un petit bruit de succion parfaitement obscène, mais surtout très très excitant... On se regarde tout en continuant nos petites affaires. Je reprends finalement mon souffle et viens embrasser ses seins, y répandant son miel avec la langue. J’en suis remercié par un :
    
    — Oh j’adore ce goût. Donne-m’en encore, tu veux.
    
    Je replonge dans son entrecuisse humide et reviens chargé de présents que l’on déguste dans une pelle baveuse. Je la sens se tordre et lui lâche moi aussi : - branle-toi les seins, je vais te bouffer jusqu’à ce que tu cries !
    
    — Vas-y mon salaud, j’adore.
    
    Je ...
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