1. Passage 1


    Datte: 06/01/2019, Catégories: f, fh, fhh, ffh, jeunes, copains, vacances, Masturbation Oral 69, pénétratio, Auteur: Busybee, Source: Revebebe

    ... l’explosion de son compagnon jusqu’à ce qui ressemblait chez lui - plus qu’à un paroxysme de plaisir - à un volcan silencieux et brûlant. La scène se prolongeait comme une belle déclinaison d’épisodes charmants sous nos yeux éblouis. Après l’avoir prise de face, de côté, à l’endroit, à l’envers, puis en un 69 réglementaire, Gilles finit par pénétrer Titou en levrette. Elle avait la tête sur les genoux de Josy qui continuait sa caresse sans se démonter tout en glissant une main dans la chevelure de notre blonde amie. Gilles était beau comme un centaure. Josy jouit avec eux.
    
    Ce premier soir en commun fut glorieux, Gilles partit dans la nuit tandis que nous dormions. La suite du séjour s’enchaîna logiquement. Malgré l’absence d’orage ils nous demandèrent de pouvoir recommencer le lendemain, puis les autres soirs parmi nous, nous rejoignant très tard en riant dans la tente, et nous nous émerveillant et nous caressant de leurs ébats. La répétition ne nous lassa pas.
    
    Cela dura toute la semaine. Une semaine de bonheur : le jour, l’air de rien, nous vaquions comme à l’habitude, entre repas et ennui de la plage, attendant impatiemment la nuit. Nous voyions certes peu de choses du spectacle, la pleine lune était passée, mais leurs gémissements, leurs souffles entremêlés, les odeurs des transpirations, des sécrétions, des haleines amoureuses, rien ne nous échappait. Nous jouissions d’eux. Nous avions pris le parti de rester sans mot dire sous les draps et de nous caresser chacune ...
    ... comme Josy au vu et à l’écoute de leurs scènes amoureuses. La tente devait transpirer la joie et le bonheur. Et libres nous étions dans cet érotisme partagé. L’une de nous parfois lasse ou terrassée s’endormait tandis que le spectacle continuait, se prolongeait, recommençait après que Gilles ou Titou fût sorti un instant pour faire pipi ou respirer un peu. Le dénouement s’évanouissait dans nos sommeils. Je rêvais lascivement, tout m’était permis. Gilles partait sans un bruit avant le petit matin pour ne pas se faire surprendre par les parents de Titou. Aucune trace de ces folies ne subsistait au matin.
    
    Une nuit, ébats apparemment achevés et Titou semblant endormie, je sentis Valérie dont la couche était à côté de moi bouger vers Gilles qui n’était pas encore parti. Elle l’enlaça, et je ne perdais rien de la scène, presque collée à ma sœur. Une variante, me dis-je. Le garçon nu se laissa faire, et je les observai de près. Un rai de lune qui éclairait un peu la scène ne me laissait aucun doute. Ils s’embrassaient, face à face, devant Titou nue aussi et endormie, et mon cœur battait fort de les voir ainsi. Comme ils étaient beaux, ces trois-là, Valy et Gilles ne faisant qu’un devant le sommeil du témoin muet terrassé de jouissance … Ma sœur était loin d’être une oie blanche, tu la connais, elle nous a raconté quelques-unes de ses aventures, mais là tout de même elle me surprenait un peu. Prendre l’ami de son amie aussi simplement que cela, juste après elle et si près ! Un peu ...
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