1. Au revoir Giulia


    Datte: 06/01/2019, Catégories: fh, Oral pénétratio, Auteur: Pierre Lemaitre, Source: Revebebe

    ... d’orange et je vais l’attendre sur son lit, dans l’obscurité de sa chambre où je suis certain qu’elle va venir faire un peu sa chatte…
    
    La voilà enroulée dans une serviette qui vient se lover contre moi. Elle a envie de tendresse comme après chaque bonne bourre. Je lui caresse les cheveux et le dos, lui donne mes doigts à mordre, lui titille les tétons…Doucement, elle se retourne et commence à me cajoler, sa langue pénètre mon oreille, elle descend dans mon cou et va se perdre sous mon aisselle. Elle continue sa descente et arrive sur mes poils pubiens, sur les couilles. Elle renifle à plein nez : mon sperme, son con ont laissé leurs marques odorantes.
    
    — Tu sens bon, me dit-elle.
    
    Et pour sûr, je sens, depuis ce matin, avec cette chaleur !
    
    Je guide sa tête vers ma bite et elle léchouille le gland, prend mes burnes en bouche, elle va s’occuper de moi ! Je bande maintenant très dur, et elle adore voir ça de près. Elle lèche mon paquet comme un de ces gelati dont elle raffole. Elle ne prend pas toute ma bite dans la bouche, elle n’y arrive pas et essaye de se rattraper par son jeu de langue et de lèvres le long de ma tige. Elle salive toujours beaucoup et s’aide d’une main. Je crois qu’elle a compris, sans que je lui en aie jamais fait le reproche, que sa manière de tailler les pipes n’est pas toujours à la hauteur de mon expérience. Elle fait de son mieux, me branlant entre ses lèvres et agaçant le trou de l’urètre de la pointe de sa langue. Elle salive beaucoup et ...
    ... me branle, faisant consciencieusement aller et venir mon prépuce, que j’ai plutôt long. De l’autre main elle malmène mes couilles. Je sais qu’elle ira au bout si je ne l’arrête pas et qu’elle me boira jusqu’à la dernière goutte.
    
    Mais je veux la fourrer encore, la sentir s’ouvrir et me recevoir. Plonger entre ses cuisses ouvertes grand-angle.
    
    — Je vais te prendre.
    — Viens sur moi, amore.
    
    Elle se met en position sur le dos, c’en est obscène de la voir ainsi offerte à ma queue ! Je la pénètre sans mal, encore une fois dans un seul mouvement. Pas de violence, non, une pénétration continue, ferme mais calme, sûre d’elle. Mon travail de laboureur commence, doucement je ressors presque toute ma tige ne laissant que le sommet du gland retenu par la ventouse des petites lèvres. Et je replonge, toujours calmement, mais un peu plus vite. Cinq minutes de ce traitement et la petite litanie recommence, je peux être tranquille, elle ne m’oubliera pas cet été !
    
    Je suis toujours assez long à venir, mais lorsque c’est le deuxième coup à la file, je peux tenir vraiment longtemps (souvent trop pour certains partenaires) sans effort, j’ai l’impression que mon sexe est indépendant, il mène sa vie et fait son travail. Et son travail, en l’occurrence, lui plaît un max ! Nous restons emmanchés comme des chiens pendant 40 minutes, d’abord sur elle, je me mets ensuite derrière, en cuillère, position repos et confort pour les deux. Elle coule comme une fontaine de Rome ! Et roucoule son "Mi ...