1. Au revoir Giulia


    Datte: 06/01/2019, Catégories: fh, Oral pénétratio, Auteur: Pierre Lemaitre, Source: Revebebe

    ... touchée en m’attendant ?
    — Qu’est ce que tu crois ?
    — Je crois que oui, tu as mis un doigt dans ton trou pour vérifier que tout allait bien et que tu pouvais me le présenter. Oui, je crois qu’après avoir mis ton soutien-gorge, tu es allée t’admirer dans le miroir et que tu t’es touché les tétons pour les faire durcir, juste un peu pour voir comment ça fait avec ce nouveau soutif.
    — Mystère…
    
    Je donne trois bonnes léchées sur toute la longueur de sa fente, ma langue étirée au maximum, de son périnée jusqu’au clito qui frissonne. Je m’en tiens là et me redresse, car c’est ma dernière visite avant plusieurs semaines de vacances et je veux laisser un souvenir marquant à ma "bella", je ne voudrais pas qu’elle m’oublie. Je lui enlève sa jupe et son haut, lui demande d’enlever elle-même son string en roulant son cul pour m’exciter. Elle s’exécute, putain que c’est beau ! Penchée en avant, elle me donne le spectacle de son gros abricot poilu entre ses belles cuisses. Je l’installe avec les mains sur la table de la salle à manger, reculée jusqu’à me présenter son cul bien écarté. Je me colle à elle, sors ma queue qui n’attendait que ça et la fourre d’un trait jusqu’au fond. Elle aussi, comme toi, aime la "virilité". Je sais que de se faire mettre comme ça presque d’entrée sans que j’aie pris le temps d’enlever autre chose que ma veste l’excite comme une bête ! Elle se sent irrésistible et fantasme à mort sur ma puissance. Elle se rapproche de la table, replie ses coudes et y ...
    ... pose sa tête, elle est à moi, elle commence à chouiner.
    
    — Mi fai impazzire, mi fai impazzire.
    
    C’est sa litanie d’amour. Elle la murmure, elle la ronronne, l’ânnone, la dit, la crie parfois quand elle part vraiment ! Le pouvoir des mots, n’est ce pas ? Tu peux pas savoir combien je suis anxieux en l’attendant cette "litanie", et heureux et fier, et "mâle" quand elle débute. Je me sens libre d’y aller carrément, je sais qu’elle apprécie. J’écarte ses fesses des deux mains pour bien voir aussi son petit trou du haut. Il me résiste et n’accepte rien de plus que mon pouce au plus fort de l’action, et encore super lubrifié. Je glisse un doigt le long de ma tige, elle me dit que j’exagère, mais me laisse continuer.
    
    — Mi fai impazzire.
    — Certo que je vais te rendre folle ma belle, jouis, profite bien, je suis là pour toi.
    
    Elle me dit qu’elle va venir et j’en profite pour donner quelques coups de salopard, en angle, bien vicieux ! J’aime tant la faire jouir, elle tremble de tous ses membres et dit son plaisir.
    
    — Mi fai godere !
    
    Le feu d’artifice est arrivé, elle s’agite avant de s’effondrer un peu plus sur la table, mais je veux finir aussi et lui balance ma purée bien planté au fond de la matrice, quasiment sans plus bouger, comme pour l’inséminer. Grand moment ! Je me sens bien, content de nous.
    
    Giulia est timide, je te l’ai dit, et, à peine ai-je déconné, elle part à la salle de bains. Je me déshabille rapido, file à la cuisine chercher deux grands verres de jus ...