1. Sonia - La grosse du camping


    Datte: 05/01/2019, Catégories: fh, gros(ses), grosseins, groscul, vacances, plage, douche, Oral pénétratio, fsodo, uro, confession, attirgros, Auteur: L'homme heureux, Source: Revebebe

    ... ces protubérances mammaires. Mais cela ne me dérangeait pas : je ne regardais plus que ça et lui caressais doucement, sans me précipiter, les larges côtés de tissus qui entouraient ces grosses mamelles. Bon sang, mes deux mains ne suffiraient pas à engloutir un seul de ses nichons !
    
    Je poursuivis mon excursion en baladant mes deux mains sur les bonnets ; je m’appliquai à leur caresser le bout avec la paume de mes mains, toujours à travers le tissu et avec légèreté. Ses bouts me semblaient étrangement petits mais se durcissaient sûrement. Sonia ne souriait plus ; sa respiration avait changé et ses yeux me demandaient de continuer ; en poursuivant avec douceur ce massage, elle bascula d’elle-même, naturellement, contre le sable chaud. J’accompagnai son mouvement afin de l’embrasser.
    
    Ce baiser fut formidable. Sonia embrassait très bien. J’étais en chien de fusil, à sa gauche et, pendant ce long baiser, ma main droite caressait maintenant son ventre. Il était si doux… Puis, je descendis contre sa hanche, habillée d’un short en jean, pour aboutir rapidement à l’extérieur de sa cuisse gauche. Ma main allait et venait contre cette chair molle mais tellement douce ! Quelle sensation agréable ! Je descendis enfin vers son genou que j’abandonnai vite pour revenir vers sa grosse cuisse. Maintenant, mes caresses alternaient le touché et le pétrissage : je passais ma main sur sa longueur puis parfois je la saisissais fermement.
    
    Après ce long baiser, Sonia se releva et dégrafa ...
    ... enfin le maudit soutien-gorge. C’était incroyable à voir. Ses gros seins pendaient jusqu’à son bas-ventre ; ils étaient laiteux et tout blancs. Ses aréoles étaient larges et très roses. Leur bout était conforme à ma première sensation : étonnement petits par rapport à la taille de leur chair naissante. Sa jeunesse lui valait malgré tout une poitrine plutôt rebondie malgré leur taille.
    
    Je les saisis à pleines mains, les embrassai, puis les suçai tandis que mes mains les tenaient sur les côtés autant que je pouvais car ils étaient trop gros. Sonia s’abandonna et se recoucha sur le dos ; mes succions s’attardèrent sur ses aréoles brûlantes de soleil ; elle avait l’air d’aimer mes baisers mammaires et je ne me faisais pas prier pour continuer longuement ce moment, d’abord langoureux pour ensuite me lâcher comme un enfant en manque de lait.
    
    Sonia respirait encore plus lourdement et entrouvrait largement ses grosses cuisses pour m’appeler à passer à autre chose. Je descendis donc ma bouche sur son ventre et vers son sexe. Les premiers boutons de son short en jean étaient déjà défaits ; elle l’extirpa d’elle-même rapidement en emmenant sa culotte dans le voyage. J’aperçus enfin son minou, tout rose et rasé.
    
    — Vas-y, bouffe-moi !
    
    Ses paroles me donnaient le feu vert pour me lâcher complètement. Effectivement, elle n’attendait que ça : sa chatte était déjà ruisselante de mouille qui brillait aux rayons du soleil. Elle écarta largement ses cuisses afin que j’y plonge la tête ; ...
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