Sonia - La grosse du camping
Datte: 05/01/2019,
Catégories:
fh,
gros(ses),
grosseins,
groscul,
vacances,
plage,
douche,
Oral
pénétratio,
fsodo,
uro,
confession,
attirgros,
Auteur: L'homme heureux, Source: Revebebe
... farouche » et était « une vraie traînée », « une salope d’allumeuse doublée d’une grosse pute »… et j’en oublie. Moi, cela m’amusait… Et cela m’attirait…
Le jour où tout à basculé, je me préparais à sortir faire un tour avec ma moto.
Sonia passa devant ma guitoune et me dit un bonjour, toujours aussi souriant et amical :
— T’en as une belle moto !
— Ouais, je l’aime bien. T’en as déjà fait ?
— Non mais ça me plairait bien d’en faire.
— Je finis de la préparer et si tu veux on peut faire un tour.
— Super ! Avec plaisir !… Dis-moi, tu la bichonnes drôlement…
Effectivement, j’étais en train d’en briller les chromes ; elle reprit :
— … et tu es aussi attentif avec ta femme ?
— Non, plus maintenant ; je suis un vieux célibataire de presque un mois !
Accroupi vers les cylindres de mon bolide, je lui matais franchement ses gros nichons, sans me cacher. Elle me fit un large sourire et soupira d’un petit rire :
— Ils te plaisent ?
Je répondis sur le même ton amusé :
— Je sais pas, je les ai pas vus !… En vérité, ils m’impressionnent… Je peux te poser une question gênante ?
— Une question gênante ? Ça dépend, tu veux savoir quoi ?
— Leur taille !
— C’est pas gênant : je fais du 120F ; et ce sont des vrais ! me dit-elle fièrement. Et ils ont encore grossi cette année. C’est la marque de fabrique dans la famille ! (rires)
— Waouh !
— Non alors, on fait un tour ?
Je montai sur mon bolide et l’avançai dans l’allée :
— Vas-y, monte ! lui ...
... lançai-je.
Ouf ! quel poids elle faisait ma Sonia : son enfourchement avait bien comprimé les boudins de ma moto !
On sortait donc du camping et déjà je sentais frotter sa poitrine contre mon dos… et je sentais également déjà l’excitation monter. Sur la route, elle délaissait les poignées à l’arrière pour m’enlacer :
— Ça te gêne pas ?
— Non !… Au contraire !
Tu parles ! Je sentais encore plus sa poitrine contre moi ; ses bras n’arrivaient même pas à faire le tour de mon corps. Après seulement une vingtaine de minutes de route, je proposai une pause cigarette. On finit par arriver dans un petit village que je connaissais ; il y avait un beau parc, souvent déserté par les vacanciers qui préférait bien sûr les plages. On alluma ainsi nos clopes et, tranquillement, allâmes nous asseoir au-delà des bancs, derrière une dune.
Le sujet ne divergeait pas beaucoup… :
— Ils m’impressionnent !
— T’as pas arrêté d’y penser sur le chemin, hein ?
— Vu comment tu te calais contre moi, j’ai pas pu les oublier ! lui dis-je sur un ton rieur.
— Tu veux les voir ?
— … et si je peux, les toucher !
Elle ne me répondit même pas ; en me souriant, elle releva d’une traite son tee-shirt. Elle me fixait du regard ; j’avais déjà le mien hypnotisé par le spectacle de cette poitrine que j’avais imaginée durant notre périple routier.
Malheureusement, son soutien-gorge était vraiment laid : une énorme parure d’un vieux blanc cassé, très large mais qui n’arrivait pourtant pas à englober ...