Trixie - Sex tour au congo
Datte: 04/01/2019,
Catégories:
Sexe Interracial
Auteur: Bea-Trixie, Source: xHamster
... érotiques. Avec le trou ouvert pour la fenêtre et juste un rideau pour la porte, le sentiment d’exposition et d’insécurité s’était rapidement transformé en fantasmes imaginaires pervers. Des travailleurs noirs et musclés, aux bites énormes m'assaillaient avec une intention salace, mon corps en sueur, se tordait de plaisir sous leurs mains rugueuses.
C'était devenu une obsession nocturne récurrente conduisant mon corps et mon esprit à une masturbation libératrice. Au fil des soirées cela devint un rituel nocturne avant que je puisse m'endormir. Je masturbais ma chatte avec vigueur, je pinçais, tirais mes mamelons durcis, enfonçant mes doigts dans mon vagin trempé pour me donner un une jouissance démentielle.
Je gémissais, haletante et tremblante. Je rêvais que des ouvriers imaginaires étaient autour de moi et me regardaient attendant leur tour, pour tous me baiser. Mon corps se balançait jusqu'à la poussée pénétrante d'un gros sexe noir et j'appréciais avidement chacune de leurs bites qui m'entouraient énormes et raides en prévision du travail qu'elles allaient faire dans ma chatte.
Après ma jouissance, je m'écroulais sur le matelas trempée de sueur et de foutre et dérivais dans un sommeil érotique, rempli de rêves plus salaces les uns que les autres, épuisée.
Ces activités nocturnes me fatiguaient et je me réveillais de plus en plus lasse chaque matin. Malgré mon épuisement, je m'éveillait avec un désir palpitant de sexe, mais je devais être active ...
... immédiatement. Sauter hors du lit, m'habiller et sortir pour le petit-déjeuner.
Je savais que si j'essayais de m'allonger, je replongerais dans les bras de Morphée, mais mon esprit me trahissait, et mon corps voulait être assouvi. Je savais que je devais me faire baiser et me faire baiser bientôt. Je n'allais pas pouvoir tenir jusqu'à la fin de mon contrat et de mon retour à la maison. J’espérai ardemment la visite de N'Doumbé !
Monsieur Dumortier se dirigeait vers moi. J'avais la chemise ouverte sur mes seins, et mes tétons se dessinaient en transparence sous le mince tissu.
- Ca va Trixie, en forme... vous me semblez distraite ! Est-ce que cette chaleur vous accable ? Dit-il fixant ma poitrine dénudée.
- Non monsieur, je suis juste un peu fatiguée, je n'ai pas bien dormi la nuit dernière, mais ça ira
- Je vais dans le lot 67 alors, mais prends bien soin de toi.
Je pense qu'il s'inquiétait pour moi. Il a regardé avec attention mes seins se dessinant sous ma chemise et puis il opina de la tête.
- C'est bien ce qui ce qui s'est passé hier soir, je m'occupe bien de moi tous les soirs pensais-je en souriant.
Le pharmacien tourna les talons, pour réorganiser le travail d'un groupe qui apparemment prenait du bon temps.
- Décidément, tu es une grande salope. Si le professeur Dumortier avait été plus attentif, il aurait vu que c'était toi qui les distrayais, ou plutôt que c'était toi qui les excitais, ce qui, je suppose ne devait pas faire avancer bien vite leur ...