Trixie - Sex tour au congo
Datte: 04/01/2019,
Catégories:
Sexe Interracial
Auteur: Bea-Trixie, Source: xHamster
... peut-être avec du sens... les premiers jours, mais maintenant au bout d'une dizaine de jours, le mot convoitise serait probablement plus approprié.
Etre entouré toute la journée par des hommes à moitié nus, au corps ciselé, l'humidité faisait coller le tissu aux parties génitales, et cela conduit aux fantasmes inévitables. Je m'imaginais souvent en train de travailler les seins nus, la douce pluie ruisselante, coulant sur ma poitrine, chaque bouffée de brise rafraîchissante chatouillant mes mamelons durcis tandis que je travaillais assidûment sous le regard des travailleurs indigènes. Je me voyais ensuite enlevée par ces ouvriers aux corps musclés, qui déchiraient et ôtaient mon short. Il me semblait que tous les jours, je finissais par avoir les culottes mouillées, et pas seulement par les conditions environnementales naturelles. Il me semblait être constamment en état d'excitation. Je me demandais, étant la seule femme, si le cuisinier ne mettait pas une drogue aphrodisiaque dans ma nourriture.
J'étais sûre, que le professeur Dumortier n'aurait pas été très heureux s'il avait pu savoir ce que je pensais la plus grande partie de la journée.
L'air était chaud et collait, empreint d'humidité. Je ne pouvais toujours pas m'habituer à cette chaleur et a cette humidité. Tout était toujours mouillé, humide de pluie et de sueur.
- Tu es une petite salope pensais-je. Tu approches de la trentaine, et les noirs te font toujours autant fantasmer... Tu aimes te faire ...
... baiser par leurs grosses bites noires, celle de Gérald te manque ! Vas-tu résister longtemps ?
Et bien sûr, en pensant à lui, j'aimais à espérer que j'étais assez sophistiqué dans le choix de mes partenaires surtout noir. Enfin, me dis-je, de toute façon, tu es maintenant au Congo, pour bosser et tu as accepté ce contrat. Mais cette acclimatation avait eu un début lent et difficile pour moi. Car nous étions isolés dans un camp à l'intérieur de la forêt tropicale, avec peu de contact avec le monde extérieur et uniquement pris en charge par les habitants des villages locaux... Lorsque nous avions quitté Brazzaville, N'Doumbé avait promis de venir au camp dans 15 jours...
Au fil des jours, je sentais de plus en plus que les yeux des travailleurs erraient sur mon corps. J'essayais de me persuader du contraire. Mais c'était le cas et cela ne faisait que nourrir ma convoitise croissante. Je me concentrais difficilement sur mon boulot, toute perception de la réalité était assombrie par un état d'éveil érotique et distrait.
À la fin de chaque journée, je ne pouvais pas attendre de terminer le dîner, il fallait que je prenne une douche et regagne ma hutte pour me masturber. Tous les soirs, j'étais terriblement excitée, j'étais de plus en plus persuadée que l'on me droguait.
Dans le confinement de ma case, l'air, était si moite qu'au bout de la première nuit, j'ai dormi sur le dessus du lit, juste avec une petite culotte. Cela avait provoqué une nouvelle série de sensations ...