1. Premier jour à l'école du sexe


    Datte: 15/02/2018, Catégories: fh, fplusag, jeunes, frousses, école, massage, init, prememois, Auteur: Fantasmarthur, Source: Revebebe

    ... les découvrirez demain. Dans l’aile gauche, ce sont les chambres et le restaurant, je vais vous montrer.
    
    Je la suis donc dans un long couloir jusqu’à ma chambre. Une chambre assez simple et classique. Un grand lit double, deux tables de nuit, une petite salle de bain encombrée d’une grande baignoire et une garde-robe qui ne doit pas être beaucoup plus jeune que le château.
    
    — Voilà, Arthur, vous pouvez poser vos affaires. Vous trouverez dans l’armoire quelques accessoires offerts par l’établissement.
    — Ici ?
    — Oui… vous pouvez ouvrir la petite boîte.
    
    J’y trouve pêle-mêle : des préservatifs, un flacon d’huiles essentielles, un tube de lubrifiant, un bloc-notes et un stylo, une paire de menottes, un exemplaire du Kama Sutra, un paquet de chewing-gum et un petit sac où ranger tout cet attirail.
    
    — Vous veillerez à emporter ces affaires pour les cours, le rendez-vous est fixé demain 8 heures.
    — Y-a-t-il encore moyen de manger un morceau ?
    — Bien sûr. Nous nous retrouverons au restaurant à 20 heures. Vous pourrez faire connaissance avec les autres élèves.
    — Combien sommes-nous ?
    — Sept. Trois garçons et quatre filles. Normalement nous voulons la parité mais nous avons eu un désistement ce matin.
    
    Là-dessus, madame la directrice prend congé. Je m’installe dans ma chambre et me fais couler un bain tiède. Il me faudra bien ça pour calmer mes ardeurs. Le simple fait d’imaginer les cours qui doivent se donner le lendemain me donne des frissons de plaisir. Je prends ...
    ... le temps de me baigner, de frotter patiemment les moindres recoins de mon corps avant de passer une chemise bleu ciel, une veste de costume sombre et de descendre au restaurant.
    
    — B… Bonjour à tous.
    
    Ma voix a à peine franchi mes lèvres. D’ailleurs personne ne me répond, si ce n’est une jeune fille perdue dans sa grande chevelure rousse qui me renvoie un bonjour encore moins sonore que le mien. Je saisis la perche et décide de m’approcher d’elle.
    
    — Je m’appelle Arthur.
    — Nathalie, enchantée.
    
    Une petite voie toute fluette, à l’image de ce corps menu. Nathalie n’est pas spécialement jolie mais sa fragilité est touchante. Sa petite robe en laine grise sur son collant noir laisse deviner un corps mince et des formes à peine dessinées. Elle est étudiante en architecture et vient aussi de Bruxelles.
    
    — Bonsoir, moi c’est Carmen !
    
    Une grande quadragénaire vient me serrer la main. Elle semble tout le contraire de Nathalie. Maquillée avec soin, la poitrine lourde et mise en valeur par un décolleté plongeant, des yeux turquoise… elle a ce je-ne-sais-quoi dans le regard qui me rappelle l’expression de Pit : « elle a des yeux qui crient braguette ! » Je me demande ce qu’une telle femme peut bien faire ici. Mais déjà elle passe au suivant qu’elle salue avec le même regard de braise. J’apprends que le trentenaire à lunettes, pâle comme un cierge et qui se cacherait bien sous la table, s’appelle Charles-André. Tellement confus d’être là qu’il se sent obligé de préciser que ...