Compartiment de jour
Datte: 14/01/2018,
Catégories:
fh,
jeunes,
couleurs,
asie,
inconnu,
fépilée,
vacances,
train,
volupté,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Oral
fsodo,
Auteur: Jeff, Source: Revebebe
... sont largement posées sur ses cuisses et s’y appuient généreusement. Sous mes doigts, j’éprouve la chaleur de ses jambes et l’élasticité de sa chair.
Avec confusion, je tente de m’excuser de cette bousculade et pour une fois, mon anglais semble être à la hauteur de mes espoirs car, dans un petit rire aigu, elle me fait comprendre que ce n’est rien…
Nos têtes sont un peu trop proches, nos bouches n’ont que quelques centimètres à parcourir pour se joindre. Contre mes lèvres, je sens son haleine, chaude et instinctivement, tandis que les voyageurs tentent de descendre, nous nous embrassons, goulûment, sauvagement.
Nos bouches unies, nos langues partent simultanément en exploration de la bouche de l’autre. Mes doigts, toujours appuyés sur ses cuisses, les pétrissent. Et si au départ de cette malencontreuse manœuvre je l’ai senti réticente, sur ses gardes, figée, sous la poussée de nos langues, sous le pétrissage de mes doigts, elle s’amollit doucement.
Pendant ce laps de temps, le wagon se vide, peu à peu et nous restons derniers occupants, ne faisant presque déjà plus qu’un, quand un "Hum !" impératif, nous oblige à nous désunir.
Le contrôleur du train est debout dans l’allée, attendant stoïquement, que notre embrassade veuille bien se terminer, le regard à la fois gêné et courroucé. Un de ces regards où vous distinguez parfaitement que ce que vous êtes en train d’accomplir ne se fait pas en public et que la morale le réprouve, en même temps qu’une certaine ...
... envie vous transforme en voyeur.
Alors, à contrecœur, nous évacuons le wagon. Par galanterie je m’empare de son lourd barda et l’accompagne vers la sortie.
Est-ce l’air de la haute montagne, raréfiée en oxygène, qui prive son cerveau de toutes ses facultés ? Est-ce que je suis tombé sur une nymphomane ?
Sans prononcer une parole, elle accroche sa main à la mienne et en me tirant, elle prend la direction d’un hangar, à quelques mètres du quai. Sans mot dire, elle m’amène au fond, s’empare autoritairement du lourd sac de mon épaule et le pose à terre. Étonné et attendant la suite, avant que je ne puisse faire un geste, elle me colle ses lèvres chaudes sur ma bouche. De nouveau, nous échangeons un brûlant et profond baiser.
Mais là, seuls, isolés, à l’abri du vent glacial qui balaie la plate-forme, loin du regard des autres voyageurs et touristes, mes mains peuvent voleter sur son corps.
J’empoigne ses fesses, à travers le lourd tissu de laine et les maltraite, les écarte, les malaxe, les pétris, pesant de tout mon poids sur elles pour plaquer son pubis contre mes hanches. Il me semble que plus je la palpe, plus sa langue s’empare de ma bouche et la fouille, profondément.
Enfin, elle lâche ma bouche et doucement s’affaisse, mettant sa frimousse à hauteur de ma ceinture, défait ma braguette en sort mon sexe, raide et tendu par le désir que notre étreinte buccale vient de déclencher.
Dans un mouvement lent, elle l’aspire, le lèche, passe de petits coups de langue ...