Weekend à la montagne - Épisode 5 - Le réveil 2
Datte: 03/01/2019,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: Primaq69, Source: Hds
Weekend à la montagne - Épisode 5 - Le réveil 2
Je m’activais du mieux que je pouvais. Après tout, c’est ma survie que je jouais avec ce cunnilingus… sans vouloir en rajouter bien entendu.
Mais si je faisais un job formidable, Pauline oublierait peut-être mon choix (qui n’en était pas un je vous le rappelle) de me retourner contre elle. Elle trouverait au fond d’elle-même la générosité de passer outre cet affront et m’épargnerait pour le reste du weekend.
« Et elle te préparera un bon chocolat chaud avant une petite pipe et un câlin au lit pendant qu’on y est » se permit d’exprimer la petite voix au fond de mon esprit qui me prenait pour un con.
Bon ok j’étais un peu optimiste… mais en même temps je n’avais pas vraiment le choix si ?
Bon j’imagine que vous ne lisez pas ce récit pour entendre en temps réel les voix qui m’habitent… donc revenons à nos moutons.
Ma langue s’agitait intelligemment dans la fente de Pauline et ça lui faisait un effet monstre. Pourquoi intelligemment ? Avec tous nos jeux SM, j’avoue qu’il était devenu rare que j’ai l’occasion de faire un cunnilingus dans des conditions optimales : mains libres, bouche et langue opérationnelles, chatte et cul accessible et à hauteur d’homme… Cet orgasme, ça devait être ma chapelle Sixtine. Ma Mona Lisa, celle qu’on raconterait un jour à nos petits-enfants. Euh non, peut-être pas non plus. Je m’emporte à nouveau… Qu’est-ce que je racontais déjà ? Ah oui, Cunni, Orgasme, bonnes conditions, toussa ...
... toussa.
Rien n’était donc laissés au hasard : ma langue parcourait sans précipitation l’ensemble de son entre-jambe. Elle venait régulièrement darder son œillet, remontait pour s’enfoncer autant que possible dans son vagin, pratiquait de petits cercles concentriques autour de son clitoris, avant de l’aspirer, le suçoter, le laper… etc… Pendant ce temps-là, mes mains étaient toujours là ou ma bouche n’était pas. Ma langue est dans son vagin ? Mon doigt pratique de petites caresses pas trop intrusive sur son œillet. Elle caresse son clitoris ? Mon doigt vient la caresser de l’autre côté de sa paroi vaginale… etc…
Pauline n’était pas en reste. Elle alternait entre gémissement de plaisir, halètement, supplication d’accélérer. Mais je savais qu’au fond, rien ne valait un orgasme que l’on faisait durer. Donc je faisais durer.
Léa décida finalement de me compliquer la tâche : elle me bandit les yeux et m’attacha les mains dans le dos.
Je souris intérieurement en la laissant faire. Elle devait penser que me bander les yeux m’empêcherait de juger la situation, mais je pilotais à l’oreille. Et pour ce qui est de me limiter les mouvements, je savais qu’un cuni sur Pauline se passait en deux temps : d’abord l’exploration et l’excitation de l’ensemble de ses zones érogènes, puis une concentration uniquement sur son clitoris pour le bouquet final.
Or, je savais être dans les 100 derniers mètres. Je n’avais plus besoin que de 30 secondes environ, une ou deux vagues tout au plus et ...