1. Philippe, le mari candauliste et Olga, l’épouse hypersexuelle (33) : le candaulisme est aussi un jeu très dangereux pour un couple.


    Datte: 02/01/2019, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Olga T, Source: Hds

    ... maintenant mon sexe juste en dessous de la jointure de ses jambes écartées, à quelques millimètres de sa chatte.
    
    • Je vais te baiser, mon homme. Tu es à moi, désormais. Je t’ai retrouvé, je ne te lâcherai plus.
    
    Flavienne regarda Philippe dans les yeux, mordit sa lèvre inférieure avec ses petites dents blanches et, très lentement, descendit sur son pieu, l’engloutissant millimètre par millimètre, sans reculer. Lorsque leurs toisons se touchèrent, elle ferma les yeux, savourant son triomphe. Elle entrouvrit la bouche et poussa un gémissement de contentement. Elle resta un moment immobile, goûtant peut-être la sensation d’être remplie puis, entama un léger mouvement d’avant en arrière, en basculant son bassin afin que son clitoris frotte contre le pubis de son amant.
    
    Toujours sans faire de bruit, je m’étais installée sur une chaise. C’était incroyable : je m’aperçus que le spectacle m’excitait, mes tétons étaient durs, je commençais à mouiller. J’ai instinctivement titillé mon clitoris et fourré mes doigts dans ma chatte. Ce que je voyais me rendait folle de jalousie, me faisait mal, mais je devais avouer que c’était torride. Et je comprenais alors ce que ressentait Philippe quand il me matait alors que j’étais sous le joug d’un amant.
    
    Flavienne, qui avait 15 ans de plus que moi, était une belle femme mure, je devais le reconnaître. Elle était magnifique, la tête en arrière, ses cheveux cuivre et or frôlant ses épaules frêles.
    
    Philippe prenait possession de ses ...
    ... seins diaphanes qui dressaient avec fierté leurs petits tétons rose pale. Il caressait son ventre musclé puis, ses mains sur sa taille, accompagnait le mouvement lent de ses hanches.
    
    • Oh mon chéri, comme je rêvais de ce moment. Et ce qui décuple mon plaisir, c’est de m’offrir à toi dans son lit, où elle est si souvent vautrée avec ses amants
    
    • Ne me parle pas d’Olga. Elle ne veut plus de moi.
    
    • Je sais que tu l’aimes toujours. Je te rendrai heureux, je te la ferai oublier, cette garce. Embrasse-moi, aime-moi mon bébé !
    
    Progressivement, elle accéléra le balancement de ses hanches. Fascinée, je ne pouvais plus détacher mon regard de ses petits seins fermes tressautant au rythme de la chevauchée fantastique.
    
    Très rapidement, son rythme s’emballa, ses mouvements se firent désordonnés. Elle poussa quelques petits cris puis, essoufflée, elle s’effondra sur mon torse, sans plus bouger.
    
    Philippe montrait une endurance que je ne lui connaissais guère. Il bascula sa maîtresse sur le côté pour, tout en restant bien profondément en elle. Il allait doucement entre ses reins. Elle se cambrait pour mieux accompagner ses assauts, elle gémissait de plus en plus fort.
    
    • Oh mon amour, oui, vide-toi en moi, je veux ta semence, je suis à toi. Ouiiiiiiiii
    
    Elle dut connaître plusieurs répliques de son orgasme avant que, ni tenant plus, Philippe n’explose d’un coup en elle. Au même instant, à force de branler vigoureusement mon clito, j’eus aussi un orgasme.
    
    Ils sont restés ...
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