1. Bralette provençale


    Datte: 02/01/2019, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Jpj, Source: Hds

    ... juste deux boutons jumeaux de ceinture.
    
    Et quand on passait la main sous ses jupes on était immédiatement au creux des villosités trempées de son appétence. Et c’était bon de bon. Enfin, moi je trouvais. Et les autres aussi ... pardi.
    
    Car cette fille était cœur d’artichaut. Elle aimait les garçons. Enfin, je veux dire qu’elle nous aimait bien. Tous. Tous autant que nous étions.
    
    On passait dans ses bras des moments vraiment sympas et nous on aimait ça. Enfin, en vrai, c’était extra et même pire.
    
    Cette fille aimait le sexe, elle aimait le cul, elle aimait la bite. Elle ne le disait pas, elle ne le montrait pas mais c’était pour nous tous une évidence et nous on trouvait ça bien qu’elle ne l’exprime pas.
    
    En quelque sorte, elle était une amoureuse discrète. Elle réservait ses marques d’affection à la stricte intimité et personne n’imaginait qu’elle pouvait avoir des tendresses pour l’un ou l’autre de nos copains et encore moins qu’elle allait rester le soir même avec l’un d’entre eux. Juste on le savait. Juste parce qu’on savait qu’aucun soir elle ne pouvait rester seule.
    
    En sus elle profitait de toutes les occasions pour exprimer ses bonnes dispositions, chaque fois qu’elle était avec un qui lui plaisait. Dans l’entreprise où nous travaillions tous les deux on la rencontrait souvent dans l’ascenseur, à croire qu’elle y passait sa vie. En tous cas bien plus qu’à la machine à café ou à la photocopie.
    
    À peine la porte coulissante avait-elle entamé sa ...
    ... fermeture qu’elle s’était coulée derrière toi, ses deux seins écrasés sur tes omoplates et sa dextre enfilée entre ventre et ceinture pour empaumer ton paquet. On le savait pertinemment et chacun prenait soin de lâcher, en douce, un trou à la dite ceinture avant de prendre l’ascenseur.
    
    Elle n’hésitait pas à chercher bas dans le boxer les roupes enfouies et à remonter le tout d’un mouvement élégant. Pensez si, quasiment instantanément, la tige avait pris pleine extension pleine expansion. Alors elle redescendait la main en balayant le gland, sa paume entraînant bas le prépuce pour bien dégager le sensible.
    
    Le ding ding marquait arrivée à l’étage et elle vous abandonnait pour reprendre posture sage indifférente dans l’autre coin de la cabine.
    
    Après ça on avait un peu de mal à marcher... Litote.
    
    Parfois il y avait opportunité et elle n’avait alors plus aucune retenue.
    
    Entre midi et deux, à l’heure à laquelle tout le staff partait croûter, elle traînait dans les couloirs museau en avant comme un chien qui respire hume pour repérer le gibier. Si elle apercevait une proie potentielle elle relevait ses épaules et les balançait d’un côté de l’autre pour déclencher la danse des nibars dans sa bralette provençale. C’était fabuleux et la victime se précipitait pour la saisir à la taille et l’embringuer aux archives ou ailleurs dans un coin tranquille.
    
    Elle n’aimait l’amour que face à face et il fallait impérativement respecter la posture imposée mais, en revanche, elle en ...