1. Bralette provençale


    Datte: 02/01/2019, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Jpj, Source: Hds

    La fille était une brune à longue tignasse couvrant ses épaules et descendant bas. Épaisse et dense et noire, sa belle chevelure. D’elle, on ne voyait que ça.
    
    Visage ovale de Méditerranéenne, mate, très souriante, avenante, jeune et jolie. Fille de Sud de France, de Côte d’Azur probablement, fraîche comme salade niçoise en marché de Provence.
    
    Le chemisier qu’elle portait, fin coton blanc, était parfaitement transparent et montrait en indécence la bralette. Enfin je dis montrait, du moins ce que ses longs cheveux noirs laissaient en voir.
    
    Elle usait de sa chevelure comme d’une vêture complémentaire qui aurait rôle de cacher son poitrail. Mais tant elle était vive que les dits cheveux virevoltaient en tous sens découvrant aux yeux de tous les regardeurs, aux yeux de tous, la bralette blanche qui couvrait ses seins.
    
    Bralette sage et pudique comme brassière large couvrant sa poitrine depuis les épaules jusqu’en dessous des deux tourterelles agitées. Le tissu était simple, sans dentelles, mais tant tissé serré que l’on ne voyait ni le sombre des aréoles ni le pointu des tétons.
    
    En revanche on vivait pleinement les mouvements amples des deux mamelles, mouvements parallèles et synchrones. Lourde inertie de chairs pleines et denses et oscillations lentes amorties.
    
    On savait déjà, sans y avoir encor mis la main, l’élasticité ferme de nibar juvénile qui faisait cette lente danse dans la légère bralette, sous nos yeux, à travers ce chemisier diablement ...
    ... transparent.
    
    La brassière n’avait aucun rôle de sustentation mais seulement d’estompage, en pudeur chaste, des dessins sombres de la poire aréolée de ses extrémités. La forme restait blanche sans dessin visible aucun. Comme virginité pascale de première communiante.
    
    Mais la forme était agitée et c’est là très exactement ce qui nous plaisait, ce qui nous faisait rêver.
    
    Manifestement elle connaissait le phénomène et se plaisait à faire vivre son poitrail de mouvements de grande ampleur, qui de droite qui de gauche, balançant ses deux lourds appendices qui déchiraient le chemisier, la bralette n’ayant manifestement plus aucune capacité à les retenir, à les contenir.
    
    Côté cul, on ne savait pas on ne voyait rien.
    
    Elle portait une jupe parfaitement opaque au regard. Tissu clair plissé qui descendait bas sous ses genoux. Jupe d’écolière, de fille sage. Et personne n’aurait osé imaginer quoi que ce soit concernant ses dessous en dessous de cette jupe-là.
    
    Elle n’était pas de ces filles bimbettes à mini jupe mi-cuisse et culotte exhibée tendue de pubis charnu. Non. Petites connes impudiques qui n’ont rien compris, qui s’imaginent qu’un élastique de string dépassant la ceinture du jean fait fantasmer les garçons.
    
    Pourtant, ceux qui la connaissaient un peu savaient. Ils savaient mais ne disaient rien.
    
    Tous savions qu’elle portait sous ses jupes, cette fille-là, un shorty ample et large, comme caleçon de garçon mais de fin coton blanc. Un shorty ouvert de haute braguette avec ...
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