Danielle, la femme du garagiste (3)
Datte: 02/01/2019,
Catégories:
fh,
ffh,
fplusag,
ascendant,
Voyeur / Exhib / Nudisme
BDSM / Fétichisme
Masturbation
intermast,
pénétratio,
Auteur: Cameraman, Source: Revebebe
... fille, Françoise, et voici l’ami dont je t’ai parlé.
Je bredouillai un vague « bonjour », un peu gêné tout de même.
Inutile de vous dire que ma queue avait perdu de sa superbe et que je ne savais plus où me mettre ; mais quelque chose me dit que tout cela avait été préparé et que finalement j’y trouverais mon compte.
Il faut dire que Françoise était vraiment très belle : une longue chevelure auburn encadrait un visage ovale, tout en finesse ; mais ce qui attirait le plus c’était le regard : de grands yeux verts, très bien maquillés, soulignés de noir surmontaient une bouche sensuelle et pulpeuse, parée d’un rouge à lèvres rouge sang.
Sa tenue la rendait terriblement attirante : elle avait des jambes interminables et très fines, gainées de nylon noir et elle était perchée sur de très très hauts talons noirs ouverts derrière et attachés autour de la cheville. Une robe très fluide, à pois blancs sur fond noir, épousait les formes de son corps, laissant pointer une poitrine formée de deux obus de bonne taille. L’ensemble lui donnait un peu l’air d’être sortie d’un film sur les années cinquante. Elle souriait en nous regardant.
Danielle, accroupie devant moi, tenait toujours ma queue dans sa main et elle sentit que la vue de sa fille me redonnait de la vigueur ; je me remis à bander fortement. Françoise tourna les talons et dit en montant l’escalier :
— Je vais dans ta chambre.
Je restai un peu estomaqué et je ne sortis de cette vision de rêve qu’en sentant ...
... les lèvres de Danielle aspirer à nouveau mon sexe. Elle me redonna rapidement de la raideur et me dit :
— Va la rejoindre ; tu sais, elle en a besoin… allez, va ! tout en me poussant vers la sortie.
Je montai les escaliers comme dans un rêve et j’arrivai dans la chambre : Françoise était là, à quatre pattes sur le lit, les fesses tournées vers moi ; elle avait quitté ses chaussures, relevé sa robe sur ses reins et m’offrait le plus beau des spectacles : elle portait des bas à coutures, comme sa mère (qui avait dû lui faire la leçon) tendus par les jarretelles interminables d’une guêpière très courte en tulle noir ; ce qui avait dû être sa culotte ne formait plus qu’une petite boule de tissu à côté d’elle.
Elle m’offrait son sexe dont je voyais l’entrée luisante et dépourvue de poils dans la pénombre de la chambre rose bonbon. Tout en remuant ses pieds gainés de nylon noir, elle se pencha en avant, enfouissant sa tête dans l’oreiller, ce qui eut pour effet de la faire se cambrer et donc, de s’offrir davantage.
Et bien, la fille n’avait rien à envier à la mère !
Je m’arrêtai un moment, la queue à la main pour me branler un peu devant ce spectacle très excitant ; mais elle se mit à tortiller des fesses et je ne pus me retenir plus longtemps : je me plaçai derrière elle, et frottai un peu l’entrée de sa chatte ; mais elle en voulait plus et, reculant ses fesses, elle s’empala sur ma queue. Je ne fus pas en reste et d’un coup de reins, je la pénétrai jusqu’au fond, ...