Danielle, la femme du garagiste (3) - Histoires de Sexe

Danielle, la femme du garagiste (3)

... ses chairs intimes trempées de mouille ; de temps à autre, ma langue s’aventurait vers son petit cul tout rose et elle semblait apprécier.

Je m’assis par terre et elle se laissa aller sur ma bouche, s’asseyant presque dessus ; elle ondoyait du bassin, se frottant contre ma bouche à chaque passage de ma langue. Je bandais à nouveau très fort et elle s’en aperçut :

— Oh, comme elle est grosse, mets-la moi, viens en moi, fourre-moi, baise-moi vite…

J’en avais très envie, bien sûr, mais je ne voulais pas aller trop vite, et surtout, je voulais pimenter un peu la chose. J’avisai une banane sur le plan de travail, et m’en emparant, je la lui fourrai dans la chatte : elle se tortilla aussitôt sur le fruit et commença à faire aller et venir ses reins de façon plus que lascive.

Je voyais ses jarretelles tendues sur ses cuisses et ça m’excitait beaucoup.

— Viens, suce-moi un peu pendant que je te branle, lui dis-je dans un souffle.

Elle s’exécuta et saisit mon membre à pleines mains : elle le glissa entre ses lèvres et se mit à me pomper, enfournant le gland jusque dans sa gorge pour mieux me sucer.

Je faisais aller et venir la banane dans sa chatte de plus en plus vite et elle me tétait le bout du gland avec gourmandise quand un bruit de voiture me fit dresser l’oreille :

— Tu as entendu ? C’est peut-être ton mari ?

Elle s’interrompit à peine pour me glisser :

— Mais non, mon mari il est au garage, je l’ai eu au téléphone il y a une demi-heure.

J’avais ...

... cessé d’agiter la banane et je prêtai l’oreille.

— La voiture s’est arrêtée devant la maison, tu attends quelqu’un ?

Sans lâcher ma queue, elle la sortit de sa bouche un instant pour me dire, avec un petit sourire au coin des lèvres :

— Peut-être ! Qui sait ?

Je commençais un peu à paniquer : j’étais dans une maison inconnue, avec une femme que j’avais certes déjà baisée, mais qu’après tout je ne connaissais que très peu, une visite s’annonçait imminente, et j’étais dans la cuisine, le cul à l’air, la queue dressée (mais de moins en moins) dans la bouche de la maîtresse de maison, elle-même en sous-vêtements sexy.

Voyant que je débandai un peu, Danielle reprit mon sexe dans sa bouche tout en me branlant vigoureusement.

Dehors, la voiture s’était arrêtée, le moteur avait été coupé et j’entendais maintenant des talons claquer sur le ciment de la cour ; une femme ? Je ne savais plus trop quoi faire ; tout cela s’était passé en quelques minutes.

Soudain, la porte d’entrée s’ouvrit et une voix féminine jeune dit :

— Maman, où êtes-vous ?

Je regardai Danielle, interloqué :

— Maman ? soufflai-je.

Danielle, sans se démonter, sortit ma queue de sa bouche et toujours sans la lâcher, répondit :

— Nous sommes là, ma chérie, dans la cuisine…

Le claquement des talons reprit et une très très belle jeune femme fit son entrée :

— Eh bien, je vois qu’on ne s’embête pas !

Un peu gêné tout de même, j’écoutai Danielle faire les présentations :

— Ma ...