1. Ginger - Chapitres 1 & 2


    Datte: 01/01/2019, Catégories: fh, hplusag, hotel, telnet, fsoumise, hdomine, Masturbation facial, Oral sm, Auteur: The sexy squirrel, Source: Revebebe

    ... remarquai encore une fois que son plaisir était nettement lié à sa docilité. Je fis la remarque suivante :
    
    — En fait, tu aimes être traitée comme une petite chienne
    — Tu crois ? répondit-elle
    — Sans aucun doute, une vraie petite chienne dévouée à son maître.
    
    Le mot « maître », si employé dans le monde de la domination, m’était venu sans arrière-pensée. Je l’avais naturellement associé au chien domestique. Ou plutôt à la chienne. Une vraie chienne… une femme-chienne ! Une recherche sur Google plus tard, je découvrais l’équivalent anglais : petgirl. Des photos de filles à quatre pattes, tenues en laisse, enfermées dans des cages, mangeant dans des gamelles. Un blog français « Journal d’une petgirl », sûrement en partie fictif. Un sujet de forum sur Doctissimo où une certaine Tanya racontait sa propre expérience et répondait avec précision aux questions et remarques. Là, aucun doute possible, c’était de l’authentique. Elle renvoyait à un site de matériel spécialisé : des colliers bien sûr, mais aussi des fausses queues qui étaient en fait des plugs anaux prolongés par un morceau de fourrure. Des déguisements également, on appelait ça du furry… j’étais moins fan. Mais tout le reste chatouillait méchamment mon imaginaire. Et si j’essayais de faire de Séverine ma petgirl ?
    
    Tous les espoirs seraient permis si j’orientais bien les choses en fonction de mon objectif. J’étais persuadé qu’il serait plus facile (façon de parler) de la prendre dès le début en tant que petgirl ...
    ... plutôt que de chercher à la faire évoluer vers cette condition à partir d’une relation d/s « classique ». Mais il fallait déjà qu’elle devienne ma soumise. Je fis donc évoluer nos conversations dans cette direction. Mes arguments répétés firent mouche, elle admit qu’elle avait en effet besoin d’un homme qui tenait fermement les rênes de leur relation. En un mot, un Maître. Dans la foulée, elle concéda que j’étais le mieux placé pour ce poste : après six mois de discussion, je la connaissais mieux que personne sur cet aspect de sa personnalité et j’exerçais déjà virtuellement cette autorité sur elle. Si elle le désirait, elle n’avait qu’à le demander, poliment bien sûr. Ce qu’elle fit. Ce fut à mon tour d’écrire :
    
    Deux jours plus tard, je lui envoyai un mail que j’avais méticuleusement rédigé :
    
    Sa réponse me parvint le lendemain. J’ai cliqué sur son message, un peu fébrilement je l’avoue. Un seul mot comme prévu : c’était « OUI ». J’ai souri en lui écrivant :
    
    – CHAPITRE 2 –
    
    Peu de temps après, je lui ai fixé un premier rendez-vous dans un hôtel parisien, classe et discret. Je connaissais bien le réceptionniste de jour pour y avoir eu de nombreux 5 à 7 avec une précédente amante. Il ne serait pas étonné qu’une femme seule vienne retirer les clefs d’une chambre réservée à mon nom. Il aurait été sûrement plus conventionnel qu’on prenne d’abord un verre dans un café avant de passer aux choses sérieuses. Mais je voulais être cohérent jusqu’au bout : je n’aurais aucune ...
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