1. Ginger - Chapitres 1 & 2


    Datte: 01/01/2019, Catégories: fh, hplusag, hotel, telnet, fsoumise, hdomine, Masturbation facial, Oral sm, Auteur: The sexy squirrel, Source: Revebebe

    – CHAPITRE 1 –
    
    Ginger, c’est ma chienne. Une superbe femelle de trois ans au pelage sable, espiègle et intelligente. Moi, je suis Sultan, son mâle alpha, le dominant. Elle me doit donc respect, fidélité et obéissance. Et, bien entendu, j’ai un droit de saillie permanent sur elle.
    
    Ginger en fait, c’est Séverine. Je l’ai rencontrée il y a environ un an sur internet. En plus de notre proximité géographique, on avait en commun une allergie à l’écriture sms. Elle avait aussi apprécié que je ne lui propose pas un plan cul au bout de cinq lignes de dial. Vingt ans, célibataire, ça attire forcément les crevards. J’avais bien sûr aussi cette idée derrière la tête, mais il ne fallait surtout pas l’effaroucher. C’était donc parti pour un patient travail d’approche. Car je sentais que cette fille avait quelque chose de spécial. L’instinct sûrement…
    
    La confiance venant au fil des connexions (on avait vite migré sur msn), elle avait fini par se confier sur sa vie intime. Laquelle se résumait en une seule véritable relation, la première, désespérante de naïveté ; bref, sans le moindre intérêt. Suivie de quelques aventures pour la plupart décevantes. Sauf en de rares occasions où, selon ses propres mots, elle s’était « abandonnée », son partenaire l’ayant « prise en mains ». Elle avait entrouvert la porte. Selon la bonne vieille technique du VRP coriace, j’y ai engagé le pied. Je n’allais plus la lâcher.
    
    Je lui ai expliqué qu’une sexualité épanouie passait par la connaissance de ...
    ... ses désirs profonds. Qu’il n’y avait pas de honte à avoir, si ceux-ci n’étaient pas dans la norme. Qu’il n’y avait d’ailleurs pas de normes en la matière, à part celles que notre éducation judéo-chrétienne nous avait imposées. Sans parler de notre époque post-moderniste, avec le culte de l’égalité entre les deux sexes, et cette connerie de la part de féminité chez les hommes. Bref, que si elle aimait les hommes virils, que si elle prenait son pied quand elle se faisait baiser plutôt qu’en faisant l’amour, elle devait en prendre conscience, l’assumer, puis le vivre. J’avais volontairement conclu mon baratin par un langage plus cru, c’était du quitte ou double. De longues secondes d’attente devant mon écran et enfin sa réponse :
    
    C’était loin d’être gagné, mais il était clair que j’avais marqué des points.
    
    À partir de ce moment, le sexe devint le principal sujet de nos échanges. Séverine me raconta ces quelques rapports qui l’avaient menée à l’orgasme, ainsi que ses fantasmes de masturbation. Je la poussais par mes questions à entrer sans pudeur dans les détails. Je ne m’étais pas trompé, tout tournait bien autour de la soumission, mais je ne voulais pas l’effrayer et j’évitais soigneusement d’employer ce terme. Petit à petit, je sentais aussi mon emprise s’affirmer sur elle, je devenais plus directif, moins complaisant. Et je constatais avec satisfaction qu’elle s’y pliait sans protester. Tout évoluait dans le bon sens.
    
    L’histoire bascula à l’occasion d’un dial où je ...
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