1. Trois orgasmes


    Datte: 01/01/2019, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: Hujambo Korodani, Source: Hds

    ... allongé sous sa femme pendant qu'elle contentait un autre, entendre ses gémissements plaisants, les coups de reins du rival, fixer l'adultère dans les yeux pendant l'acte adultérin, tout cela n'en finissait plus de plonger le mari dans un désir sans fin et d'étirer son pénis jusqu'à la douleur entre les seins de sa femme prise par un autre et pas n'importe quel autre, son patron !
    
    Son cerveau étant chez lui son plus grand organe sexuel elle savait tout ce que cette scène qui se déroulait sur lui et dont elle était l'élément principal provoquait chez le cocu cérébral ; plus encore que la longue grosse queue amante qui la mouillait, l'ardent feu désirant qu'elle voyait illuminer les yeux maritaux la cyprinait pendant que son amant l'élargissait vaginalement ; contre ses seins verticaux aspirés par l'attraction terrestre elle sentait son pénis cocu qui s'électrisait de désir et de frustration ; la volupté avait été de ne pas le maintenir en cage chaste pendant qu'elle le cocufiait avec son patron, une humiliation cérébrale particulièrement profonde.
    
    Ils essayèrent une nouvelle position : le mari resta étendu sur le dos ; cette fois l'épouse s'assit sur son pubis en lui tournant le dos ; elle ouvrit les cuisses, rejeta en arrière le dos, appuya les deux mains en arrière sur le matelas pour maintenir son dos en équilibre ; l'amant à genoux rapprocha son braquemart des sexes époux ; sauf qu'à la différence du pénis cocu qui bandait en l'air, le pénis amant gonflait dans le ...
    ... vagin.
    
    Cette fois l'amant pouvait voir le visage de l'épouse pendant qu'il la labourait sexuellement ; non seulement il pouvait l'entendre, maintenant il pouvait suivre en direct les fluctuations grimaçantes de son plaisir ; lui aussi prenait un plaisir égocentrique similaire à celui des tueurs en série à baiser sur le corps de son employé la femme de ce dernier.
    
    Le mari, qui subissait le poids de son épouse prise sur le pubis, ne pouvait voir que son dos, ses cheveux. Le corps de son épouse oscillait d'avant à l'arrière en suivant le rythme que lui imprimait les coups de reins de l'amant. Sa queue bandait pour rien sous la jointure charnelle de son patron et de son épouse. Comme il aurait aimé être son patron, être à la place de son patron en train de baiser sa femme ! Il déposa ses mains sur les hanches de son épouses. Au passage ses mains croisèrent les mains du patron qui se dirigeaient vers les seins : non seulement par le pénis il prenait le vagin maintenant en main il prenait les seins.
    
    Ils changèrent une nouvelle fois leur positionnement : cette fois encore le mari resta étendu sur le dos ; l'épouse s'allongea sur lui en position 69 ; l'amant à genoux derrière le cul de l'épouse introduisit sa longue grosse verge blanche dans l'intime chair rose. Elle sentait pleinement le pénis amant qui remplissait son canal vaginal. « Oh oui ! Baise-moi ! Baise-moi bien ! » s'écria-t-elle.
    
    Le mari bandait plus fort ; il voyait à quelque centimètre le pénis patron baiser ...