1. Trois orgasmes


    Datte: 01/01/2019, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: Hujambo Korodani, Source: Hds

    Quand on sait que l'employé qu'on exploite au Smic va voir nos couilles la moindre politesse c'est de les laver. Pour K, chef d'entreprise d'une quarantaine d'année, nettoyer ses testicules ne suffisait pas ; il se douchait avec ces savons irritants vendus aux supermarchés, savons qui non seulement piquaient les yeux, laissaient aussi des traces blanches sur la peau et particulièrement pour K, des traces blanches sur ses testicules, traces blanches qui collaient sur ses poils et donnaient sinon l'impression de saleté l'impression qu'il avait des poils blancs aux testicules. Cet « inconvénient » qui s'il ne suffisait à remettre en cause sa virilité pouvait faire préjuger de sa mauvaise hygiène et c'était précisément ce que K ne voulait pas. « s'ils voient mes testicules comme ça, ils vont penser que je suis crade ou que j'ai des vieilles couilles ! » K ne voulait pas qu'on juge ses couilles sales ou vieilles.
    
    On se trouvait début juillet ; grâce au vent la chaleur qui avait tout brûlé durant juin s'était atténuée. En hiver K détestait le vent parce qu'il donnait froid mais l’aimait en été parce qu'il rafalait les moustiques. K pénétra la salle de bain. Il se déshabilla. En léger surpoids, son ventre engraissait une petite bedaine. Les hommes au petit sexe compensent financièrement ; c'était un cliché Trumpesque et grotesque qui ne s'accordait pas avec K, riche au long épais pénis ; deux raisons pour lesquelles on le détestait. Il ne s'était jamais marié. C'était un heureux ...
    ... célibataire.
    
    L'eau mouilla le corps clair. Il dirigea le jet sur son sexe. Il tenu en main ses parties génitales. Elles étaient velues. Sous ses burnes il revit les poils blancs, résidus savonniers. Il éteignit l'eau. Il saisit le rasoir pour raser ses poils blancs. Alors qu'il rasait ses bourses il imaginait une bouche qui lui suçait les testicules. Son pénis entra en semi-érection. Après s'être lavé K mangea. Il devait faire le plein d'énergie pour la nuit charnelle qui l'attendait.
    
    Toute la ville avait déjà été rempli par la nuit lorsque K arriva chez B et T. Il était 20H. Ensemble ils prirent un verre, causèrent un peu, puis pénétrèrent la chambre conjugale. Ils se déshabillèrent et se retrouvèrent tous nus.
    
    Le mari allongea son dos sur le matelas. L'épouse l'enjamba, se mit à quatre pattes au dessus des cuisses maritales ; son visage regardait le ventre mâle, ses seins frôlaient le pénis tendu. Debout les pieds sur le tapis l'amant se colla au bord du lit. Fléchissant les jambes il saisit les fesses femelles, y introduisit son braquemart. C'était exquis de baiser par le vagin la femme de son employé pendant que la queue cocue bandait et frémissait désirablement entre les seins adultérins. En prenant sa femme dans leur lit conjugal il lui montrait qu'il n'était non seulement le patron au bureau mais aussi le patron au lit, faisant de lui le BOOSSXUEL !
    
    Les époux se fixaient les yeux pendant qu'elle gémissait érotiquement sous les assauts du pénis amant. D'être ...
«123»