1. Paiement en nature


    Datte: 31/12/2018, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: Zalava, Source: Hds

    ... l'imaginais. Je ne pus m'empécher de gémir de douleur devant Madame, qui semblait amusée de m'imposer cela.
    
    Alors que je croyais la séance terminée, l'esthéticienne, armée d'une pince à épiler, ôta un à un les poils rebelles, ceux les plus proches de mon sexe, et je dus encore souffrir. Quand ce fut enfin terminé, mon pubis était tout irrité et je me sentais plus nue que jamais. L'esthéticienne me passa une crème qu'elle étala sans complexe de mon anus à mon nombril. Elle mit dans son geste beaucoup de douceur, alors qu'elle avait été jusque là plutôt ferme. La crème apportait de la fraîcheur à ma peau irritée et j'ai soudain ressenti comme une onde intérieure à mon bas ventre. Madame remarqua aussitôt mon émoi et dit à l'esthéticienne d'arrêter.
    
    - Repars à tes occupations maintenant que tu es présentable.
    
    Elle tendit quelques billets à l'esthéticienne qui la remercia et partit rapidement.Je me rhabillais et retournais à la buanderie.
    
    Il y avait du linge à laver dans le bac : 3 ensembles de sous-vêtements particulièrement soyeux. En les prenant je remarquais que l'un des strings était humide à l'entrejambe, très humide même. Ces dentelles représentaient tout ce que je n'étais pas. Leur douceur, leur richesse me grisaient. Sans m'en rendre compte, je jouais avec, laissant le doux tissus frôler mes mains, glisser entre mes doigts. Je n'ai pas résisté à l'envie de me caresser avec, en portant contre ma joue, ces écrins de soie. Le contact à mon visage était si ...
    ... agréable, que j'en oubliais qu'ils avaient été portés par Madame. Ce n'est que lorsque la petite culotte à l'entrejambe encore humide, frôla mes narines, quand les effluves de l'intimité de cette femme me pénétrèrent, que je pris conscience de l'absurdité de mon comportement.
    
    Je rouvris les yeux, que j'avais un temps fermés pour mieux me laisser transporter. Madame était là, à quelques mètres de moi, le visage dur. Immédiattement sorti de mon rêve, je redevenais la petite fille prise en faute, honteuse. La soie brûlait soudain ma peau, comme si j'avais été prise en flagrant délit d'usage d'un stupéfiant. Mais je ne pouvais me résoudre à lacher ces trésors. Je restais immobile, pétrifiée. Madame s'approcha de moi, se saisit des sous-vêtements.
    
    - Que faisais-tu ?
    
    - ...Rien, Madame.
    
    - Ne me mens pas !
    
    - J'admirais vos dessous Madame
    
    - Comment les admirais-tu ? Tu avais les yeux fermés !
    
    - ... par leur douceur contre ma peau, Madame
    
    - Et, qu'as tu ressentis ?
    
    - Je...
    
    - Accouche !
    
    - J'ai senti votre odeur intime Madame
    
    - Comment était-ce ?
    
    - Je ne sais pas dire Madame. Je...
    
    - Tiens !
    
    Elle me tendit la culotte encore humide.
    
    - Renifle-là !
    
    - Je ne...
    
    - Tais-toi. Respire mon odeur de femme !
    
    J'ai approché le tissus doucement à mes narines. De nouveau, les effluves ont pénétrés mes narines. Ce parfum agréable contrastait avec le sentiment de honte lié à la situation, au regard sévère de Madame sur moi.
    
    - ça te plait de me sentir ...
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