1. Paiement en nature


    Datte: 31/12/2018, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: Zalava, Source: Hds

    ... Veiller à ce que le repas soit prêt à 12h30 tous les midi. Faire le ménage du rez de chaussée, tous les jours, faire la vaisselle, laver à la main les vêtements délicats qui se trouvaient dans un bac spécifique à la buanderie. Elle me donna une clef qui me permettait d'entrer le matin. Je ne devais jamais chercher ou appeler Madame, jamais monter à l'étage, ignorer les autres personnes que je pourrai croiser de temps en temps. Je devais être là à 8h précise le matin mais attendre dehors si j'étais en avance. Je devais être partie à 16h45 précise, même si je n'avais pas terminé mes tâches.
    
    J'étais presque heureuse quand le repas fut terminé. Je pouvais ainsi me remettre au travail, ne plus me trouver face à elle. En fait cette femme me fascinait et me faisait peur en même temps. J'enviais son assurance, sa position sociale, sa maison. Mais elle me renvoyait une bien piètre image de moi-même. Je sentais qu'elle me cachait quelque chose aussi.
    
    A peine la vaisselle finie, une sonnette retentit. Je pris soudain conscience de ma tenue encore transparente et j'allais dans la buanderie pour être sûr de ne pas me retrouver nez à nez avec une tierce personne. Mais Madame m'appela soudain et je fut obligée de me rendre dans l'entrée. Une femme s'y tenait debout avec une valise à ses pieds. Madame lui parlait à voix basse mais haussa le ton lorsque j'arrivais.
    
    - Tenez, la voilà ! Peu importe le temps que ça vous prendra. Mais je veux qu'elle soit aussi glabre que moi dès ...
    ... aujourd'hui.
    
    - Si elle est aussi poilue que vous me l'avez dit, il faudra au moins 2 séances.
    
    - Montre ta chatte à l'esthéticienne !
    
    Je n'en croyais pas mes oreilles. J'ai hésité une seconde de trop...
    
    - Et fait pas ta sainte nitouche ! Trousse ta jupe immédiatement.
    
    J'ai relevé ma jupe. La honte m'a de nouveau submergée. je regardais mes pieds comme une petite fille en faute.
    
    - C'est effectivement la forêt vierge ! Il faudra trois séance minimum. Mais rassurez-vous, Madame, elle sera lisse dès aujourd'hui.
    
    - Parfait. Mettez-vous au travail. Vous pouvez vous installez sur le fauteuil électrique du petit salon.
    
    On s'installa dans le petit salon où je dû me déshabiller entièrement avant de m'asseoir dans le fauteuil. L'esthéticienne actionna la télécommande pour que le dossier s'incline vers l'arrière et me fit poser les jambes sur les accoudoirs. Ainsi positionnée, cuisse écartées, j'offrais une vue directe sur mon entrejambe.
    
    L'esthéticienne, ne me demanda pas mon avis, et à l'aide d'une paire de ciseaux, elle commença à tailler ma toison pubienne. Elle y allait sans précaution, attrapant ma toison d'une main sans ménagement, et coupant de l'autre. Parfois elle me faisait mal en tirant mes poils. Madame, restait là, silencieuse, à me regarder.
    
    Mais le plus dur restait à venir. Car une fois débroussaillée, elle sortie de sa valise les bandes de cires pour m'épiler le sexe. Elle m'annonça que ça allait faire mal, mais c'était bien pire que je ne ...
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