Le mariage de Marie-France
Datte: 31/12/2018,
Catégories:
fffh,
jeunes,
Inceste / Tabou
campagne,
fête,
noculotte,
conte,
Auteur: Benoberna, Source: Revebebe
... cousin.
Ce que je fis, avec plaisir bien sûr, lui parlant à l’oreille comme si de rien n’était, et la sentant se crisper, les deux coudes sur la table, les mains tenant sa tête. Son corps se mit à frémir, à vibrer, mais elle déploya une telle force de concentration pour se contrôler, que moi seul sus qu’elle avait joui sous mes doigts.
Depuis que mes doigts, et depuis peu ma langue, avaient accès aux sexes de mes cousines, j’étais surpris par la rapidité de leur jouissance. Une nuit où j’en parlais, il y a quelques années, avec l’une d’entre elles, je l’entendis me répondre que, nous quatre, produisions une énergie électrique qui s’avérait être complémentaire, et nous faisait accéder rapidement à l’extase. C’était fort possible, car mon plaisir à moi, avec elles, venait également très rapidement. Cela remontait à notre enfance où, dans le baquet déjà, nous ressentions cette force qui nous donnait envie de nous toucher.
— On dort ensemble ce soir, mon cousin ? me dit-elle, en déposant un gros baiser sur ma joue, pendant que je suçais mes doigts chargés de ses sécrétions.
Une seule personne avait perçu ...
... notre manège, la mariée. Elles étaient tellement semblables qu’un simple regard de Marie-France lui avait indiqué ce que ressentait Evelyne, ainsi qu’elle me le dit lors d’une dernière danse. Elle avait également compris que les problèmes de Martine n’avaient pu être résolus que par moi. Je lui donnais tous les détails ; elle devait savoir, c’était notre règle. Elle se colla à moi, tant et si bien que je ne pus retenir une bandaison, qu’elle entreprit de résorber. Il faisait maintenant nuit noire, et nous dansions dans une pénombre permettant quelques fantaisies. Elle se saisit de la pochette de mon costume :
— Pour ne pas nous tacher, cousin.
Elle glissa sa main entre nous, ouvrit ma braguette, insinua sa main, se saisit de ma verge, enveloppant le bout de ma pochette, et entreprit un mouvement qui se conclut rapidement par un frisson qu’elle ressentit, tant nous étions collés.
— Encore merci, mon cousin, pour tout le plaisir que tu m’as donné depuis tant d’années.
Elle glissa le tissu souillé dans ma poche, referma ma braguette, déposa un baiser sur ma joue et tourna les talons.
La noce était finie.