1. Le mariage de Marie-France


    Datte: 31/12/2018, Catégories: fffh, jeunes, Inceste / Tabou campagne, fête, noculotte, conte, Auteur: Benoberna, Source: Revebebe

    Puis advint ce qui devait advenir, le groupe se dispersa, chacun suivant sa vie, son travail, mais nous restions en contact, nous retrouvant pour au moins une semaine tous les étés dans la maison familiale. Les grands parents avaient hélas disparu, et nos parents n’y venaient plus guère. Mais nous, les cousins, avions de tels bons souvenirs dans ces lieux, que nous faisions tout pour y aller, chacun ayant gardé sa clé.
    
    Nous retrouvions la baignade et ses fantaisies, qui faisaient toujours de moi le jouet de ces dames. Nous allions cueillir des prunes, avec un escabeau de plus en plus bancal, qu’il convenait qu’un cousin costaud tienne de plus en plus fermement. Mes cousines, et nous avions alors plus de vingt ans, telles des gamines, grimpaient, sans culotte bien sûr, et refaisaient pipi du haut du prunier, me demandant toujours de bien les regarder. Etait-ce bien utile de me le demander ? Ces trois sexes, que mes doigts connaissaient par cœur, s’ouvraient pour m’offrir trois jolies cascades, que je ne me lassais pas de regarder.
    
    Mais aujourd’hui, les poils retenaient les dernières gouttes qu’il me fallait essuyer avec mes doigts, lorsqu’elles redescendaient. Je le faisais volontiers, poussant même le zèle jusqu’à aller débusquer les dernières gouttes entre leurs lèvres gonflées. Voilà ce que nous aimions. Et le baquet, que nous avions retrouvé dans la soupente, qui fuyait pas mal, mais dans lequel le rituel était de se retrouver ensuite, de s’asperger de seaux d’eau ...
    ... et d’en ressortir avec un cousin dressé, comme avant. La différence avec autrefois, est qu’aujourd’hui mes cousines se disputent pour savoir laquelle va débarrasser le cousin de cette déformation. C’était souvent les trois mains qui s’agitaient autour de l’objet convoité, et l’explosion les ravissait toutes les trois.
    
    Puis un jour, surprise, à laquelle en fait nous nous attendions un peu, un faire-part nous annonça le mariage de Marie France. Martine avait un copain qui la rejoindrait sur place et, Evelyne, seule comme moi, me proposa d’être son cavalier. Le mariage avait lieu à une demi-heure de notre repaire estival. Nous décidâmes donc, Martine, Evelyne et moi, de nous y retrouver pour nous préparer. Douche, toilette, certes tous ensemble, mais très sages. Nous allions marier celle qui, déjà, nous manquait, mais nous nous réjouissions de son bonheur. Je m’habillais dans la chambre, lorsque j’entendis Martine m’appeler :
    
    — Tu peux m’aider, s’il te plaît ?
    
    Je retournai dans la salle de bains, et là, je n’en crûs pas mes yeux. Martine, devant moi, avait enfilé une paire de bas couleur chair, et un body qui faisait office de porte-jarretelles, et quel body, en microfibre transparent, avec de fines dentelles qui cachaient bien mal les poils de son sexe, et c’est là que je devais intervenir. Son body se fermait à l’entrejambe, à l’aide de petites pressions.
    
    — Tu es sûre que tu ne peux pas le faire toute seule ? m’assurai-je.
    
    Elle était debout, et moi accroupi ; ...
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