La bourgeoise et le marabout (41)
Datte: 30/12/2018,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: hélène75, Source: Xstory
... Rien qu’à la lueur brillante qui s’allume dans les yeux du gars et au rictus qui se dessine sur son visage, elle sait qu’il est en train de se dire
- Quelle salope !!! Avec son look, elle doit aimer la queue ! Il me la faut !
De tout son corps, elle voudrait que le jeune la fasse descendre de voiture et l’entraîne vers l’une de ces caves sordides où il la jetterait sur un vieux matelas puis la baiserait rapidement avant de l’offrir à ses copains. Mais au dernier moment, sa raison prenant le dessus, la peur que ça finisse mal surpasse l’excitation qu’elle ressent. Elle remonte brusquement la vitre électrique, démarre sur les chapeaux de roues et quitte rapidement le secteur. Mais quelles minutes plus tard, quelques kilomètres plus loin, elle va refaire le même numéro dans une cité voisine. Il n’y a que le nom de la rue qu’elle cherche qui change !
Comme convenu, il est 18h30 en cette fin d’après-midi de vendredi lorsque nous nous retrouvons en bas des escaliers de la station de métro Barbès Rochechouart sur la ligne 2. Nous nous faisons la bise et nous décidons aussitôt de nous tutoyer ; après nous être faites baisées ensemble dans la même cabane de chantier, nous sommes devenues des intimes ! J’ai volontairement mis un tailleur bleu- chemisier et pantalon - très sobre et non provocant, tout le contraire de Nathalie qui affiche une robe rouge en laine ultra collante qui sculpte son 100 D et ses fesses. Je la prends par le bras et nous voilà parties. Les vendeurs ...
... à la sauvette de cigarettes de contrebande, de parfums contrefaits et autres smart phones d’origine plus que douteuses nous interpellent au passage. Nous les ignorons superbement en riant et poursuivons notre route en imaginant leurs yeux scotchés sur nos silhouettes, notamment sur celle de Nathalie. Je dis à mon amie que je l’entraîne faire des essayages dans une boutique que je connais, un peu plus loin dans l’une des petites rues qui montent vers le Sacré-Cœur. Quittant le trottoir du boulevard Rochechouart, je l’entraîne à droite dans la rue d’Orsel, puis à gauche dans la rue Seveste et enfin à droite dans le passage Briquet. Mon amie est un peu perdue mais elle me fait confiance. Soudain, alors que nous passons devant une porte cochère, quatre hommes se précipitent sur nous et nous obligent à entrer dans l’immeuble. Je crie pour appeler à l’aide mais une main se plaque sur ma bouche. Une porte s’ouvre à gauche une fois que nous sommes dans le bâtiment et on nous entraîne à l’intérieur.
Nous sommes maintenant dans une petite salle très mal éclairée, il doit bien avoir là une bonne douzaine d’hommes qui nous dévorent du regard. L’un deux, un grand black qui semble être le chef de la bande, nous dit
- Vous pouvez criez mais ça ne servira à rien, personne ne peut vous entendre ici. Si vous vous laissez faire, il n’y aura pas de souci et vous pourrez repartir tranquillement.
Nathalie me jette un regard apeuré, incrédule, elle est incapable de comprendre ce qui se ...