1. La bourgeoise et le marabout (41)


    Datte: 30/12/2018, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: hélène75, Source: Xstory

    Il y a quelques jours, j’ai reçu le sms suivant de Nathalie : « Pas fait l’amour depuis que je suis allé avec vous à Saint-Ouen. Je me désole ! ». A la lecture de ce mail, je me souviens combien Nathalie, responsable RH dans une société cliente, avait pris son pied lorsque je l’avais entraînée sur un chantier en banlieue et livrée à quelques jeunes ouvriers blacks et beurs (Cf. chapitre 37 « Deux salopes sur un chantier »). Cette séduisante quinquagénaire à la poitrine opulente – délaissée sexuellement par son mari – s’était joyeusement offerte à ces mâles en manque et s’était rassasiée de longues fellations, de saillies bestiales et de sodomies profondes. En la voyant se donner sans compter, offrant grands ouverts tous ses orifices, j’avais deviné qu’une salope en manque sommeillait dans la peau de cette bourgeoise BCBG. Elle était donc comme moi ! Mais, contrairement à moi qui assouvis régulièrement mes envies, Nathalie avait accumulé du retard et souhaitait maintenant rattraper le temps, ou plutôt les occasions manquées. Cette première approche de la pluralité dans une cabane de chantier lui avait donné une envie frénétique de sexe. Il me revenait de l’aider à apaiser sa faim….
    
    Après quelques échanges téléphoniques avec mon marabout pour bien organiser le projet que j’ai en tête, je me décide à envoyer un sms à Nathalie : « Nathalie, RDV demain 18h30 métro Barbès Rochechouart. Tenue BCBG de rigueur ».
    
    Je n’en ajoute pas plus car je veux qu’elle s’interroge sur ce ...
    ... que je lui prépare, qu’elle ressente en elle comme un mélange d’excitation et de peur. Je sais en effet, suite à ses confidences lors de notre déjeuner il y a déjà quelques semaines, qu’il lui est arrivé d’aller en voiture rodée dans les cités au nord de Paris. Au volant de sa petite voiture, elle se met en chasse de jeunes mâles désoeuvrés, blacks ou beurs de préférence. Une fois au volant, elle remonte suffisamment sa jupe pour que l’on voit les jarretières de ses bas et la blancheur de ses cuisses. Elle défait deux ou trois boutons de son chemisier pour que son 100 D soit accessible au regard. Enfin, avant de démarrer, elle se remaquille devant le rétroviseur intérieur - rouge à lèvres un peu brillant, petit coup de fond de teint pour effacer les fatigues de la journée, ombre à paupières et mascara pour mettre en valeur le bleu des yeux – puis se fait un petit chignon pour rehausser son allure de bourgeoise BCBG. Une fois dans la cité, elle fait semblant de chercher sa route, s’arrête lorsqu’elle voit un jeune correspondant à ses envies, baisse la vitre et lui dit
    
    - Je cherche le bâtiment A, rue des lauriers mais je crois bien que je suis perdue.
    
    Comme la rue n’existe pas, puisqu’elle vient de l’inventer, le jeune ne peut pas lui indiquer sa route mais il commence tout de même à la baratiner. Elle aime – car c’est ce qu’elle attend – qu’il la regarde des pieds à la tête, fixe ses jarretières, plonge les yeux dans son décolleté puis fixe ses lèvres rouges et humides. ...
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