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Les bons comptes... font les bons amis...
Datte: 28/12/2018, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Alainylon, Source: Hds
... droit dans les yeux, alors que d’elle-même, elle écarta les cuisses sans changer de position. J’enfonçais deux doigts dans le vagin. Elle soupira. Je les agitais. Avec mon autre main je lui palpais de nouveau les grandes lèvres. Puis je lui massais doucement le clitoris. Qui devenait dur comme un gros pois chiche. Marina gémissait sourdement sous les yeux du spectateur qu’était son mari. Après avoir écarté mon assiette encore remplie. Je retroussais sa jupe. Puis la fis s’asseoir sur le bureau. Les pieds dans ses sandales, sur le bord, les jambes largement écartées. J‘écartais la dentelle et j‘examinais sa vulve. Entre les touffes de poils de la couleur de ses cheveux, qui bordaient ses lèvres dentelées, je voyais bâiller une grande vulve rose aux reflets de chair crue. Dans le cratère mauve qui béer, les replis des muqueuses étaient tout emperlés de gouttes de mouille. Alors que d’autres gouttes s’accrochaient aux poils. On aurait dit des gouttes de rosée sur des brins d’herbes. Une odeur fade et épicée à la fois, arrivait à mes narines. Une odeur de fruit de mer. Incapable de me retenir plus longtemps, je penchais ma bouche jusqu’à toucher son sexe. Mes lèvres s’emparèrent de son entaille. Je léchais sa fente de bas en haut. Me régalant de sa saveur salée. Mais je sentais que la coquine en voulait plus et cela malgré la présence de son homme. J’avais alors pour ça glissait ma langue dans son con juteux. Dans ses chairs qui se gonflaient de sang. À l’instant où ...
... je sentais qu’elle se tendait vers l’orgasme, je marquais cruellement une pause. J’en profitais pour décalotter le clitoris entre deux doigts. Je me mis à le branler comme je l’aurais fait avec une bite. Observant l’énervement de Marina. Et ce fut seulement quand je l’avais amené au bord de la crise de nerfs que je daignais la sucer. Elle extériorisait son plaisir. Comme pour nous le faire partager. Il était temps pour moi de me lever, et de me placer entre ses cuisses. Je déboutonnais ma braguette. Pas le moins du monde inquiet de m’exhiber devant les yeux de Benoît. Alors que Marina me regardait m’activer avec un mélange de curiosité et d’envie trouble. Les boutons coinçaient à cause de mon érection. Mais qu’en enfin mon sexe avait jailli dans ma main, la coquine me fixait avec des yeux intéressés. - Dis, tu la touches ma queue ? Lui lançais-je. Ses doigts se refermèrent autour, avec prudence. Puis comme formaté, elle s‘était mise à me caresser de haut en bas. Ma queue s’animait entre ses doigts. Je l’encourageais par des gémissements. Je bandais plus ferme qu’au début. Emportée par sa fougue, elle se gêna pas de glisser une main dans mon slip, pour me tripoter mes testicules. Elle n’était plus elle-même. Je m’étais reculé. Pour me trouver hors de porter de sa main. Et j’en profitais pour faire tomber mon pantalon, puis mon slip, jusqu‘à mes chevilles. Puis je m’avançais de nouveau à la toucher. J’avais Le visage à la hauteur de ses seins. Devinant ce qu’il ...