1. NASSIMA ET SES FILLES Troisième partie AMAL


    Datte: 28/12/2018, Catégories: Humour Inceste / Tabou Anal Auteur: proxxx6, Source: xHamster

    ... même temps, sa douceur. Elle l’aimait. Et elle criait qu’elle l’aimait ; qu’il était son maître ; qu’il était son Dieu. Elle criait qu’elle allait jouir comme une folle ; que mon zob allait l’emmener au paradis. Et qu’elle voulait y rester, au paradis. Qu’il ne fallait plus qu’il quitte sa chatte ; que celle-ci était devenue sa seule maison.
    
    Et puis elle poussa un très long râle et déchargea très fort, plusieurs fois, jusqu’à ce qu’elle s’écroule sur le lit en détendant tous ses muscles. Je restai en elle, le gourdin encore tendu. Je continuai à la piner plus en douceur, espérant réveiller ses sens rassasiés et la faire jouir encore une fois, avant que moi-même je ne décharge tout le foutre que j’avais accumulé. Je retournai au fond de son vagin et repris les lents mouvements d’allers-retours. Je lui soulevai le bassin pour que mon sexe aille au plus profond d’elle. Petit à petit, je sentis qu’elle s’animait et que le désir renaissait. Elle reprit ses petits gémissements et tortillait ses hanches pour accompagner le mouvement de mon gourdin dans son ventre. Elle referma les yeux et remonta dans son monde merveilleux pour savourer son plaisir. Elle souriait de bonheur tout en gémissant, balançant sa tête et bavant
    
    Le spectacle de ma belle enfermé dans son paradis de plaisir accrut mon excitation. Je me mis à donner des grands coups de reins faisant voyager mon engin entre l’entrée du vagin et le fond ; de plus en plus rapidement et de plus en plus fort. Elle criait ...
    ... qu’elle était au paradis et qu’elle voulait y rester et y mourir ; qu’elle n’avait jamais eu autant de plaisir ; qu’elle était folle d’être restée vierge jusqu’à maintenant ; qu’elle aurait dû venir, il y a bien longtemps pour se faire dépuceler. Moi je n’y tenais plus. Mon sexe allait éclater tellement il était gonflé. J’accélérai le mouvement et nous eûmes en même temps un long râle de jouissance, qui me fit éjaculer une quantité incroyable de sperme à l’intérieur du préservatif et la fit décharger une autre quantité de jus à l’intérieur et à l’extérieur de son vagin. Nous nous affalâmes tous les deux épuisés.
    
    Nous restâmes ainsi longtemps allongés l’un sur l’autre jusqu’à ce que notre souffle ait repris son rythme normal. Je me levai de sur elle et je regardais son entrecuisse qui était rouge de sang. Elle avait beaucoup saigné. Je lui demandais de vérifier si elle ne saignait plus. Le sang ne coulait plus. Je lui ai pris les mains pour les embrasser en signe de reconnaissance et d’amour.
    
    - Je t’aime tant ! » lui dis-je.
    
    - Pas plus que moi ! répondit-elle.
    
    Nous prîmes une douche bien chaude et nous dormîmes comme des souches. Le lendemain nous passâmes, toute la journée au lit à nous aimer et à parler d’avenir et de la manière dont on allait annoncer cela à Nassima et Nawal. Je lui suggérai de passer par Nawal pour arranger les choses. Elle accepta, craignant d’affronter seule sa mère. Comme je n’avais pas le droit de l’appeler, je lui dis de lui dire de m’appeler ...